Le plaisir de recevoir un petit paquet suite à une commande. Lors de la première commande il y a toujours un effet de surprise plus important.

Depuis quelques temps le petit monde du tricot que je suis ne parle que des bougies "Les trois chats". Comme beaucoup j'aime les bougies, leur petite flamme réconfortante et parfois la subtile odeur qui s'en dégage. En parlant de subtilité c'est parfois si léger que cela ne sent rien. Vu le prix de certaines marques autant allumer une bougie chauffe-plat dans un joli photophore.

Les retours d'expérience étant positifs je me suis fait un petit plaisir. Un bel emballage, des petits goodies (friandises et autocollants avec des chats) pour les deux bougies choisies et l'échantillon pour découvrir une senteur.
J'ai choisi Orchidée blanche et Eden (le parfum du mois) et Forêt enchantée pour l'échantillon.

J'ai allumé Orchidée Blanche. Parfum délicat, présent mais pas entêtant : j'aime beaucoup.

Ce samedi le temps était magnifique mais très froid. Le jardin devra attendre encore un peu car il reste gelé une bonne partie de la matinée. Quelques courses, un passage à la médiathèque et je suis restée au chaud avec Pookie qui n'a pas quitté mon lit (que je n'avais même pas eu le temps de faire) de 7h à 17h ; elle n'allait pas louper le goûter tout de même !

J'ai continué à petite vitesse à monter des rangs sur l'écharpe de ma fille tout en m'éparpillant à droite ou à gauche.
Après tout ce sont les vacances...

A dimanche.

Je vous dis "à demain" et hop une semaine passe !

Dimanche dernier mon Petit Bout a dormi tard de retour de sa soirée d'anniversaire. Réveillée à mon horaire de semaine j'ai nourri le fauve qui attendait l'ouverture du seul volet électrique. C'est le signal qui la positionne, impatiente, derrière le volet en bois de la porte fenêtre de la terrasse couverte.
Une fois le ventre plein elle s'est postée devant la chambre de sa petite maîtresse comme la veille pour aller dormir avec elle. Doucement j'ouvre la porte, Pookie se faufile, grimpe sur le lit et va s'allonger sur ma fille qui est ravie pendant que je referme la porte.

En attendant le lever de ma demoiselle j'ai tricoté sans bruit dans ma chambre ; j'ai eu le temps de faire pas mal de rangs sur l'écharpe !

Puis l'une s'est levée pour petit déjeuner pendant que l'autre restait au lit !

Papotage entre deux tartines beurrées puis j'ai fait de la pâte à crêpes pour un déjeuner "Chandeleur".

Il était temps de boucler la valise et de partir pour la gare en milieu d'après-midi. Et voilà ma fille  en route pour Paris et moi pour la maison où le chat était toujours à la même place !

J'ai tricoté, remis un peu d'ordre, nourri le chat puis moi, regardé une série et au lit.

Puis j'ai été malade. Le ventre qui gargouille, les aller-retour aux toilettes. J'ai cherché ce qui n'était pas "bon" dans mes derniers repas et j'ai espéré que Manon ne soit pas dans le même état.
Je suis allée travailler quelque peu "allégée". Ce n'était pas la grande forme mais je n'ai pas eu le temps de m'apitoyer sur mon sort. Petit message à ma fille pour savoir si elle allait bien ; pas de symptôme de son côté, ouf !
Le midi je me suis couchée dans le canapé en ayant mis le réveil et j'ai dormi ! Retour au boulot avec le sentiment d'avoir de la fièvre. Je n'ai pas trainé pour rentrer et retrouver ma place dans le canapé sous le plaid avec 39° de fièvre.
L'idée qu'un aliment n'était pas passé ne tenait plus vraiment. On était plus sur un gastro. Où avais-je attrapé ce truc-là puisque c'est viral ?

J'ai dormi ; Pookie est venue se coucher sur mon ventre, bienfaisante petite bouillotte. Je me suis levée pour la nourrir puis suis partie me coucher dans mon lit cette fois pour une nuit de presque 12h.

Au matin ce n'était pas la forme olympique mais la fièvre était tombée. Aucune envie de manger mais avec mes "réserves" je ne risquais pas grand chose !

Premier petit bol de riz le mercredi midi, puis doucement j'ai réintroduit les aliments sans risque au cours de la semaine. Du coup j'en profite pour diminuer mes portions repas même si je n'ai pas le sentiment que mon jean's se porte mieux après cet épisode !

J'ai bien travaillé le jour et beaucoup dormi le reste du temps cette semaine. Il devait y avoir de la fatigue accumulée. Si cela peut me permettre de profiter d'une semaine de vacances en pleine forme c'est bien !

Un dernier coup de collier vendredi pour boucler des dossiers, préparer mon absence et mes vacances à la maison commencent !

J'ai déjà commencé une liste impressionnante de "choses à faire". J'espère ne pas m'éparpiller et en finaliser quelques unes. 

Pour se motiver voici où en est l'écharpe de Laëtitia avec le marqueur repère.
J'en suis à la seconde pelote.

A suivre...

Lundi dernier j'ai monté sur mes aiguilles (droites) les mailles pour l'écharpe de mon aînée en côtes anglaises. 

J'ai bien avancé mais dans le reste de la semaine, peu de centimètres supplémentaires se sont ajoutés.
Mon joli marqueur du Repère des tricopines marquait mon étape de lundi.

Il ne faut pas espérer qu'elle soit terminée et expédiée pour être reçue le 15 février. Mais je continue uniquement ce projet pour qu'il ne traîne pas jusqu'à l'été !

Encore une semaine au bureau et je serai en congés pour une semaine complète.
Encore des congés me direz-vous ? Oui mais ces journées ne seront rien qu'à moi. Je reste chez moi et je compte bien jardiner, tricoter, broder et un peu ranger. Faire tout ou plutôt, un peu, ce que je n'ai pas le temps de faire le WE ou le soir.
J'ai beaucoup de jours à prendre puisque je n'ai pas pris de congés cet été. Il m'en restera après la date butoir mais comme c'était pour raison de service je ne vais pas les perdre. Je compte bien reprendre une semaine avant les vacances de Pâques pour d'autres travaux au jardin.

J'espère cette année mieux m'organiser au jardin et pas seulement au potager qui a déjà meilleure allure que l'an passé à la même période. J'ai énormément de taille à faire et à broyer ; ce sont les voisins qui vont être contents ! C'est pour cela que le faire en semaine plutôt que le WE c'est un peu plus facile.
Je me doute que j'ai des envies supérieures à mes possibilités pour les aménagements ; je vais essayer d'avancer par petit espace défini pour ne pas avoir un vaste chantier.
Enfin ce sont les bonnes résolutions. A voir...

Hier soir à 0h30 je suis allée chercher mon Petit Bout à la gare ; j'ai eu du mal à tenir éveillée jusque là !
Oui je lui manquais trop depuis une semaine ! Non elle a un anniversaire ce soir et c'est l'occasion de voir plusieurs copines en même temps. Je ne suis utile que pour le taxi, le petit déj et les crêpes de dimanche midi avant le retour !!!
Pookie en a profité pour squatter le lit de sa petite maîtresse !

Allez je retourne à mon tricot.

A demain.

C'était bien, même très bien.

Voilà je vous ai tout dit, à la prochaine fois.

Non, vous me connaissez, je vais vous raconter un peu... ou beaucoup !

Jeudi matin réveil à 5h30 car bien sûr je suis incapable de finir un sac totalement à l'avance. Comme pour tout c'est au dernier moment que je suis efficace ; j'avais prévu mais pas finalisé. Je voulais donc une petite marge de manœuvre avant de quitter la maison à 7h. J'ai abandonné Pookie alors qu'elle prenait son petit déjeuner.

J'avais presqu'une heure et demie pour arriver à la gare, je pensais être large même avec la circulation du matin. Erreur ! J'ai vraiment cru que j'allais louper le train. Plus question de chercher une place et de rejoindre la gare à pied ; j'ai fini au parking de la gare 10mn avant le départ du train.
Une fois à ma place j'ai poussé un grand "Ouf !" intérieur. Gros moment de stress qui s'est ajouté à mes atermoiements de la veille !

Pour me changer les idées je me suis plongée dans un livre que j'ai rapidement terminé : "Le châle de Marie-Curie" de Déborah LEVY-BERTHERAT. J'ai beaucoup aimé ce récit d'une rencontre entre deux femmes dans une chambre d'hôpital.
J'ai un peu crocheté le châle, constaté une erreur, défait 2 rangs de cette laine si fine pour finir par ajouter 6 rangs à l'étape précédente.

Arrivée à Paris je n'avais qu'une hâte, trouver des toilettes. Etant du côté fenêtre je ne voulais pas déranger ma voisine, laisser mes affaires et utiliser les toilettes du train. Après une errance dans le hall d'arrivée annexe de la gare j'ai fini par trouver des toilettes. Il fallait 50 centimes. J'ai trouvé quelques pièces jaunes à glisser dans la fente lorsqu'une personne est sortie. J'ai gardé mes pièces et suis rentrée avant que la porte ne se referme. Quelle mauvaise idée. Alors que je rangeais mes pièces la lumière s'est éteinte, une sonnerie a retentie, il y a eu des cliquetis et une voix a répété "temps dépassé- temps dépassé..." Je me suis demandé si j'allais pouvoir ressortir avant la mise à feu !
J'ai pu sortir. Deux personnes attendaient. J'ai laissé passer la première pour à nouveau rechercher mes petites pièces. La dame n'avait pas vu qu'il fallait payer et est partie. J'ai glissé la première pièce qui est retombée, la seconde a suivi le même chemin.
Mes pièces ne plaisaient pas à la machine. J'ai abandonné.

Je suis partie à la recherche du métro qui n'est pas indiqué dans cette partie de la gare. J'ai croisé une dame SNCF avec un joli costume façon groom qui m'a gentiment guidée pour retrouver le hall principal et les indications pour le métro.

Nouveau hall, nouvelles toilettes indiquées. Je tente ma chance. Tout augmente ; là c'était 1 euro et je n'avais pas assez de monnaie. Pas envie de tenter d'obtenir des pièces contre un billet dans une boutique de la gare.

Me voilà partie pour le métro. Je fais la queue pour prendre un carnet (un vrac de 10 billets) et je me dirige vers la ligne qui m'emmènera à la station proche de mon premier lieu de perdition. Mon aînée et moi avions prévu de nous y retrouver. Mon ticket a été avalé par la machine mais les portes ne se sont pas ouvertes. J'ai tenté de le repasser mais bien sûr cette fois il n'était plus valable. J'ai changé de porte et ai glissé un second ticket avant de me retrouver de "l'autre côté". Je vous passe les couloirs, le monde, le bruit, les odeurs...
Mon dernier séjour à Paris date de 2011 avec les filles. C'était déjà très différent de ce que j'avais connu pendant mes 18 mois parisiens en 1990 et alors aux antipodes de mes 20 premières années de vie de banlieusarde !

Ma fille m'a rejointe à la sortie de la station Château d'eau. J'avais eu le temps de voir passer un nombre impressionnant de vélos de tout style et de trottinettes dans la petite bande de roulement qui leur était dévolue. Leur vitesse de déplacement compte-tenu des piétons qui traversaient, des voitures aux croisements me faisait peur. Pas question de prendre un vélib pendant mon séjour !!!!

Nous avons fait une halte nécessaire dans un café. Ce fut un moment parfait pour nous retrouver au chaud. Je ne vais pas au café. Je n'en ai pas l'occasion, de plus je ne bois pas de café ! Pourtant j'ai apprécié de me poser là et de ne me soucier de rien. Rien à préparer ou aller chercher. Dernièrement avec une amie qui habite à 1 km de la maison nous nous sommes retrouvée dans une boulangerie-patisserie (Fonsorbes n'a pas de salon de thé !) entre nos deux maisons. Nous aurions pu nous retrouver chez l'une ou chez l'autre comme nous l'avons déjà fait. Mais cela s'est présenté ainsi. En rentrant à la maison j'ai pensé que cela avait été un moment différent. A part parler et nous écouter en dégustant notre gâteau nous ne nous sommes souciées de rien dans ce lieu neutre.

Bon revenons à ce fameux lieux de perdition. Il s'agit d'une boutique de laine découverte sur Instagram. Lorsque j'avais vu qu'elle était proche du domicile de mon Petit Bout j'avais prévu de m'y rendre. Il s'agit de #lestricoteursvolants. J'avais repéré une jolie laine violette pour une envie de pull jacquard islandais d'un vieux 100 idées.
La laine violette était justement dans la vitrine de cette petite boutique colorée accompagnée d'un rose fuchsia. Pendant notre pause au café Laëtitia m'avait glissé qu'elle aimerait bien une écharpe pour aller avec un bonnet vert. Voilà une idée de cadeau pour son proche anniversaire.
Au violet qui me plaisait j'ai ajouté le rose pour les motifs. J'avais envisagé un mauve pâle mais le combo de la vitrine me plaisait trop pour le changer.
Pendant ce temps ma fille essayait de retrouver le vert de son bonnet. Le monsieur a cherché avec nous. Ah le plaisir de jouer avec les couleurs. Nous avons fini par trouver le fil parfait avec en prime les conseils de points pour cette laine.
Un chouette moment.

Pour l'écharpe de Laëtitia

Pour un pull 100 idée pour moi

Nous avons repris le métro pour aller dans le 11e découvrir notre home pour ce court séjour. C'est un ancien atelier dans une venelle privée garnie de plantes en pot. 

Manon travaillant et ayant un pot le soir avant une présentation le lendemain nous avons convenu de nous retrouver que le vendredi midi pour déjeuner près de son lieu de travail.

Nous sommes allées faire quelques courses au Fr@nprix à 100m pour le petit déjeuner. Ah les prix parisiens !
Une petite pause, une réservation pour un ciné voisin, le temps d'aller manger un Ramen végétarien dans un petit restaurant tout proche avant d'aller voir Babylon. Nous avons bien aimé même si j'ai trouvé un peu long, certaines images n'apportant rien.

En une journée j'avais eu bien plus d'activités que pendant un mois ! Et ce n'était que le début.

Le vendredi, Laëtitia et moi sommes allées nous promener le matin dans le Marais, un petit passage devant un salon de thé où nous étions allées toutes les trois des années plus tôt pour le moment souvenir. Au fil de nos déambulations dans les rues nous faisions des pauses dans les petites boutiques qui nous attiraient, souvent des librairies. Un livre choisi par mon aînée et un livret clin d'œil sur les chats à Paris pour ma cadette ont fini dans notre sac.

Le midi nous avons retrouvé Manon au restaurant Noûsh dans le 9e. Mes filles surtout ma parisienne ont des listes de restos à tester dans tous les coins ! Je me suis laissée porter.

Ma cadette est repartie travailler et nous avons marché jusqu'à Montmartre. Je voulais aller au Marché Saint-Pierre. J'ai craqué pour un joli tissu pour me faire une jupe... un jour (j'ai toujours un coupon acheté cet automne que je n'ai pas transformé !!!) et une petite bande de jersey pour faire des chaussettes à cake de laine. Si j'avais eu une idée plus précise d'un haut dans ce motif de jersey j'en aurais pris un grand métrage mais c'était un peu cher pour partir sans idée établie.

Tissu viscose pour jupe

Tissu jersey pour cake keeper

Nous avons monté, descendu des escaliers (ce n'est pas ce qui manque dans le coin) pour trouver une boutique de vêtements vintage. Mes filles ne jurent presque plus que par la seconde main. Un tour place du tertre. Puis changement de quartier pour aller vers le lieu de vie de Manon où se trouve une boutique Céz@ne. Mon aînée avait repéré sur le Net un gilet. Dans ce lieu cosy j'ai pu me poser pendant que ma demoiselle faisait ses essayages. Nous avons quitté la boutique avec trois vêtements. Il faut croire que le neuf a encore de l'attrait !

A la fin de la journée j'étais bien contente de retrouver le canapé de notre home. Mes gambettes n'en pouvaient plus. Un mauvais choix de chaussettes avait échauffé mes pieds et crispé les orteils pour moins glisser dans les chaussures. Les genoux n'étant pas en reste avec les escaliers. La fatigue me rappelait que je n'avais plus 20 ans mais surtout que je ne faisais plus de sport depuis trop longtemps.

Manon nous a rejoint peu après. Nous avons décidé d'un apéritif dînatoire pour une soirée tranquille. Elles sont parties faire les courses puis ont tout préparé pendant que je "larvais" sur le canapé.

De bonne heure le samedi ma sportive est allée courir sur les quai de la Seine. Elle a été coursée quelques mètres par un "imbibé" qui sortait d'un bar ; il n'a pas tenu le rythme mais cela l'a suffisamment contrariée pour rentrer rapidement. 

Nous avions réservé pour voir une exposition au musée du monde arabe que voulait visiter mon aînée. Je ne me souviens pas y être déjà allée. Les réservations sur le site n'étant pas très claires nous nous sommes rendues compte que seule l'expo sur Baya, icône de la peinture algérienne était comprise sans la visite du musée. Du coup nous avons complété par l'option "tout compris". Il y avait une seconde expo que ma parisienne voulait voir Habibi, les révolutions de l'amour et surtout l'expo Sur les routes de Samarcande que moi je voulais voir. Elle a aussi énormément plu à mes filles. C'était superbe.
J'avais vu des photos chez Sylvie mais en vrai c'est encore plus beau. Admirer de près ces milliers de petits points tout en ayant une idée de ce que cela peut représenter comme travail.
Le tour dans le musée a été rapide car au bout d'un moment on n'est plus capable de tout voir et d'apprécier.
Un passage à la librairie car mère et filles ne peuvent pas passer à côté de livres sans regarder, feuilleter, voire acheter. Là j'ai été raisonnable, juste une carte et deux marque-page pour offrir.

Baya

Manteaux brodés

Tapis brodé

Détail.

Nous avions prévu de déjeuner tardivement à la crêperie des Arts près de St Michel. Toute une histoire cette crêperie. Nous y étions allées en 2009 ici puis retournées en 2011. Il a fallu patienter un peu pour avoir une table mais que ne ferait-on pas pour cultiver des souvenirs ?

Un passage au "Bon Marché" rive gauche pour le côté chic. L'occasion de profiter de la présence de mes filles pour acheter des sneakers à la mode (le terme baskets étant out !). Je voulais faire comme elles et glisser mes pieds dans des VEJ@ mais comme les sœurs de Cendrillon mes larges petons (déjà malmenés) ne trouvaient pas chaussures à leurs pieds. Je me suis rabattue sur du connu des NEW B@L@NCE beiges qui ont un petit côté chic et confortable ! Je suis ironique car la mode, l'habillement et moi ne sommes pas du tout en adéquation. Ces dernières années mes "investissements" vestimentaires ont été dérisoires voire inexistants. Au bureau ma coquetterie passe par un joli foulard, des boucles d'oreilles que j'assortis au pull. J'espère progressivement ajouter l'originalité de tricots faits mains !
J'ai donc repris le métro avec le sac orange estampillé "Le Bon Marché - rive gauche" au bout de mon bras. Je pense y mettre les papiers pour la récup au bureau si Manon ne l'oublie pas en venant à Toulouse ce WE. Avec la laine, le tissu et la paire de chaussures j'ai dû laisser quelques affaires à ma fille pour pouvoir fermer mon sac !

Le temps de rentrer, de se poser quelques instants et repartir pour une soirée théâtre. C'est un WE sans temps mort ! Mes filles avaient réservé pour voir la pièce "Et pendant ce temps, Simone veille" à la Comédie Bastille. C'était très drôle, bien joué ; nous avons beaucoup aimé. Cela faisait tellement longtemps que je n'étais pas allée au théâtre.

En sortant il était temps de nourrir le corps après l'esprit ; un restaurant italien a fait l'affaire Il Seguito dans le 11e. La tranquillité d'accompagner les pâtes d'un Valpolicella puisque c'est le métro qui nous ramène à la maison !

Le soir nous ne tardons pas pour l'extinction des feux, mes gambettes n'ayant pas beaucoup chômé ce samedi.

Déjà le dimanche, le dernier jour de ce séjour et celui du basculement de l'année supplémentaire.
Rangement du logis, du sac, la petite photo souvenir avant de passer tout déposer dans le petit studio de Manon. Encore un escalier à monter, raide, étroit pour arriver dans une toute petite pièce surchargée. J'avoue que j'ai été un peu triste de voir que Manon vivait là. Son studio que j'avais connu à Toulouse était plus agréable. Bon c'est du provisoire mais je comprends qu'elle ait envie de changer et même maintenant de quitter Paris.

Mes filles avaient réservé dans un restaurant végétarien pour un brunch tardif. Nous sommes parties à pied vers le canal Saint Martin pour une balade dominicale et les arrêts dans les boutiques du parcours dont une librairie galerie et une échoppe de plantes vertes avant d'aller au restaurant. J'avais découvert cette adresse sur Instagram lors d'un rebondissement de page en page et l'avait communiquée à ma parisienne. C'était l'occasion de tester.

Le brunch servi sur une grande planche.

C'était sympa, mignon, bon mais cher pour ce que c'était : très bobo parisien. Ora paris 10e

Un retour toujours à pied chez Manon pour récupérer mon sac. Mes filles m'ont accompagnée au métro. Laëtitia partait un peu plus tard.

J'ai un peu cafouillé pour trouver mon train. J'avais lu quai 11 au lieu de 1 (j'aurais dû me souvenir que j'étais un peu myope !) et bien sûr sur un quai pour la banlieue mon QRcode ne passait pas. Encore un gentil monsieur SNCF qui m'a tout expliqué et j'ai pu me poser à ma place. Mais je n'étais pas au bout de mes surprises.

Le train est parti ; j'ai informé mes filles que tout était ok.

Le contrôleur est passé vérifier les billets et comme à l'aller j'ai dégainé mon portable avec l'application qui va bien sauf qu'elle ne voulait plus se charger. Je fouille dans mon sac à la recherche de la copie du billet que j'avais précautionneusement faite sauf que dans mes errances de quai je l'avais sortie et ne trouvais plus que celui de l'aller que je n'avais pas jeté. Je commençais à paniquer et surtout à me sentir bien empotée. Le contrôleur m'a rassurée et demandé mon nom et ma date de naissance pour me retrouver ce qu'il a fait sans peine avant de me dire "Mais c'est votre anniversaire" et de prendre à témoin les voyageurs voisins pour chanter  "Joyeux anniversaire". Son collègue ajoutant au moment adéquat "Sylvie" puisque c'était noté sur leur appareil. C'était très gentil mais bien sûr je ne savais plus où me mettre en souriant bêtement. J'ai vite replongé dans mon second bouquin pour ne le quitter qu'à l'arrivée à Toulouse. De la lecture facile, distrayante : "Là où tu iras, j'irai" de Marie VAREILLE.

Ma Kangoo était toujours là et a gentiment démarré. Heureusement car je venais déjà de payer une fortune pour obtenir le ticket de sortie ; je ne comptais pas m'éterniser.

A 22h j'étais à la maison et Pookie m'attendait derrière la porte ; elle n'a pas cherché à sortir car son ventre criait famine. Elle a eu droit à une double portion !
A peine le temps d'un gratouillis et elle repartait dans la nuit.
Les crottes étaient bien dans le bac mais deux pipis séchaient sur le carrelage aux endroits où cela lui arrive parfois. Pas d'autres dégâts pour un chat presque abandonné pendant 4 jours.

Il faisait 10° dans le maison et le radiateur (que je n'ai toujours pas changé) est seulement arrivé à 19° à 11h ce matin aidé par un beau soleil derrière les vitres du salon. Heureusement pour la chambre à 12° cela a été plus rapide même s'il ne faisait que 15° en me couchant.

J'apprécie cette dernière journée de vacances en retrouvant mon refuge et ma tranquillité... pour reposer mes gambettes. Sinon demain les escaliers en fer du bureau vont être difficiles à monter !!!

MERCI

à mes petites demoiselles pour ces 4 jours à fêter mes 63 printemps.

Allez, assez bavardé, j'ai une laine à mettre sur les aiguilles si je veux offrir une écharpe terminée pour dans 15 jours... cela va être juste quand même. A suivre...

Depuis hier soir je suis en vacances, jusqu'à lundi soir prochain ! Oui c'est un peu étrange comme dates mais j'avais envie d'une journée avant et une journée après pour moi.

Il y a presque trois ans mes petites demoiselles voulait m'offrir pour mes 60 ans un WE à trois quelque part. Une première idée était un WE de yoga aux beaux jours. Mais une pandémie nous a fait renoncer à ce projet pour 2020, puis 2021. L'an passé la période autour de mon anniversaire n'était pas propice à faire des projets.

Cette année changement de programme mes filles ont décidé de souffler mes 63 bougies à Paris.

Manon est déjà parisienne mais son studio est trop petit et suite au dernier évènement elle ne s'y sent pas très bien donc nous nous retrouverons toutes les trois dans un Airbnb pour quelques jours. Pour moi ce type d'hébergement sera une première.
Demain matin je prends le train à Toulouse pour arriver à la gare Montparnasse, Laëtitia depuis Annecy arrive à la gare de Lyon et nous nous retrouvons toutes les deux dans une boutique de laine dans le 10e que j'ai envie de découvrir. Manon est au bureau et nous rejoindra le soir.

Pour le trajet en train je prévois bien sûr de l'occupation.

Pas question d'emporter le pull en cours, beaucoup trop gros alors j'ai choisi de prendre la chaussette que j'apprends à tricoter depuis un certain temps sur de petites aiguilles circulaires.
J'étais arrivée au talon et il me fallait les explications et de la concentration donc j'ai préféré m'y atteler à la maison. Il faut dire que j'ai choisi un modèle débutant avec des explications en anglais que j'ai besoin de traduire car pour une première chaussette ce n'est pas instinctif même si je me dis après avoir passé une étape que ce n'était pas si compliqué.
J'ai choisi de commencer par la tige donc il me reste le pied à faire avant d'avoir besoin des explications pour la pointe. Ce sera pour une fois revenue à la maison.
J'ai tout glissé dans une pochette zippée de mon stock.

Photo pas terrible prise au flash car très mauvaise luminosité aujourd'hui.

Pour être sûre de ne pas manquer d'ouvrage au cas où ma vitesse de tricotage en rond deviendrait fulgurante j'ai retrouvé un très vieux projet de châle au crochet. J'avais acheté deux pelotes de fil 50 % mérinos et 50 % soie en 2010 sur un salon ici ; un rose pale et un prune. C'est un fil très fin puisqu'il y a 425m pour 25g.
J'ai donc commencé un châle au crochet 2.5 très basique avec des groupes de brides en augmentant au centre et sur chaque bord pour une forme triangulaire avec un aller-retour de chaque couleur.
Cela tient dans une autre petite pochette zippée toujours de mon stock.
Je pensais me faire deux jolis petits sacs un avec un tissu rose avec une tour Eiffel et un autre avec un tissu avec des parisiennes d'allure vintage, mais je n'ai pas eu le temps.
Cela aurait été l'occasion d'utiliser ces deux tissus que j'avais achetés lors de notre dernier séjour à Paris avec les filles en 2011 ici

Je pourrai toujours coudre les petits sacs de retour à la maison pour les souvenirs parisiens. Il y aura une 2e chaussette à faire et le châle ne sera pas terminé !

J'ai aussi pris deux livres. Un mail de la SNCF annonçant peut-être des perturbations dues au givre sur les installations électriques je prends des précautions. Je pense que je peux plus facilement me passer d'un truc à grignoter que de me tourner les pouces si les délais s'allongent. Bon je prends tout de même de quoi manger...

J'ai l'habitude de voyager en prenant ma voiture ; je me sens libre et autonome et les distances ne me posent aucun problème. Avec le train c'est une autre histoire. Là, je ne suis plus dans un élément que je maîtrise. Est-ce l'âge mais je m'inquiète de plus en plus de ce que je ne connais pas ou peu.
Je sais que je vais y arriver mais je vais sans doute beaucoup cogiter cette nuit pour ce voyage et ce séjour!

Personne ne pouvant me conduire à la gare de bon matin je prends ma voiture et je dois trouver un endroit pour la garer gratuitement et sans risque en ville ; le parking de la gare me reviendrait plus cher que mon billet. Oui parce que j'ai une carte "Senior" !!! Mon aînée, en prévision de ce voyage, m'a fait prendre la carte pendant le Black Friday à 50%. En un voyage elle est rentabilisée.
Il me restera un trajet à faire en métro ou à pied pour rejoindre la gare.

Un autre problème était Pookie. Que faire d'elle pendant 4 jours ?
Elle rentre et sort à sa guise, fait ses besoins dehors et revient manger le matin et le soir.
Ces derniers jours avec la chute des températures, elle passe la journée à la maison et ne demande à sortir que le soir après son dîner.
Je ne pouvais pas la laisser 4 jours dehors avec juste une amie qui passe la nourrir quotidiennement. J'ai donc opté pour qu'elle reste à la maison. J'ai ressorti sa caisse, acheté une nouvelle litière. J'espère que demain elle va bien comprendre le message lorsque je vais la laisser de bon matin après lui avoir donné son repas.

Et puis cela fait tellement longtemps que je ne bouge plus que, faire un sac, penser à tout me stresse un peu. Je me limite volontairement à un petit sac à dos mais les pulls d'hiver sont gros. Mes filles qui ont tellement effectué d'aller et retour entre les deux maisons parentales puis ensuite depuis chez elles sont rodées à l'art du bagage. Moi je me sens rouillée ; pourtant j'étais seule à organiser nos départs en vacances à trois avec tout le matériel de camping, les vêtements, les vélos et tout ce qu'il fallait. Ou alors c'est le côté à minima que je ne maîtrise pas.

Mes filles ont prévu un programme sympa pour ces 4 jours alors je ne vais plus penser qu'à cela et tâcher de fermer l'œil cette nuit !

A bientôt.

Non, pas celui du 1er janvier !

Mais le pull 100 idées commencé fin décembre 2021 avec le cadeau de Noël offert par mes filles (voir ici).

Mais que m'arrive-t-il à finir un projet par semaine ? Je vous rassure cela ne va pas durer.

Sur ce pull il me restait le col à tricoter en rond et à faire les coutures puisque tricoté à l'ancienne sur des aiguilles droites (voir ici).

Hier soir alors que les mailles s'enchaînaient sur le pull du 1er janvier j'ai repensé à cet ouvrage mis de côté si près de la fin.
Je l'ai ressorti, j'ai mis les mailles du col en attente sur mes aiguilles circulaires et j'ai commencé à tricoter. L'encolure est large puisque de forme bateau et il est prévu de faire quelques rangs de jersey qui vont roulotter comme au bas des manches et du corps. Je l'ai essayé après quelques rangs et j'en ai profité pour présenter une manche pour voir la longueur. C'était trop court. Même en se disant que la laine allait se détendre Il fallait bien ajouter quelques centimètres.
Du coup je suis repartie sur un motif que je n'ai pas fait en totalité sur chaque manche.

De retour sur le col j'ai décidé d'aller au bout de ma pelote de laine principale, le mohair étant d'un autre métrage c'est décalé. Comme cela me semblait un peu juste j'ai décidé de finir les petits restes de chaque manche. Du coup il y aura plein de fils à rentrer, Grrrrr!

J'ai dû ajouter quelques chutes de laine pour rabattre mes mailles. Et encore des fils de plus à rentrer ; pas facile dans un col qui se retourne ! Je ne voulais pas entamer une pelote neuve.

Ce col restera éloigné du cou ce qui m'arrange. La laine mohair et soie est douce au premier contact sur la joue mais fini par picoter après un certain temps. Donc un petit foulard sera le bienvenu pour protéger mon cou.

Tous les fils sont rentrés et coupés dans les coutures ; il reste ceux du col que je couperai après blocage

Je suis contente de l'avoir terminé mais peut-être un peu déçue du résultat.
Vu ce qu'il me reste de laine j'aurais pu le faire plus long et plus large pour un aspect plus "loose" et la laine, seule, sans l'ajout du fil mohair aurait été préférable. Vu mes rondeurs, le mohair plus les points en relief n'aident pas pour un coté longiligne !
Pour les manches je me demande si j'ai bien fait de les rallonger. Lorsque j'ai les bras le long du corps elles tombent sur le début des doigts ; sinon lorsque les bras sont pliés elles sont parfaites. J'ai testé un petit revers qui fait plutôt joli donc ce n'est pas trop grave. J'ai bien fait de ne pas suivre le modèle et de resserrer le bas des manches. Je me souviens que sur le premier tricoté dans ma jeunesse ces bas de manches trop larges m'avaient gênée.

Les coutures des côtés et des manches n'ont pas pris trop de temps vu que j'étais lancée dans ma dynamique des finitions ! Je m'épate !!!

Je vais le bloquer en essayant de l'allonger côté corps mais pas côté manches.

Il me reste encore plein d'ouvrages à terminer mais le prochain ne sera pas pour la semaine prochaine.

Une nouvelle semaine se profile avec juste 2 jours de travail avant quelques jours de vacances...

Pas très présente par ici en ce moment.

Pas grand chose à montrer non plus. Un rang par ci, un rang par là mon pull monte doucement.
Pour être sûre de ne pas me retrouver à court de laine pour les manches je mettrai en attente le corps dans quelques centimètres pour passer sur les manches puis je pourrai finir le corps avec ce qu'il restera de laine. J'aime les pulls plutôt longs pour cacher mes rondeurs en allongeant "artificiellement" mon corps !!!

Petit à petit je m'habitue à tricoter avec des aiguilles circulaires en installant le tricot sur mes genoux. Si je veux être plus rapide il faudrait vraiment que je change la façon dont je présente le fil sur les aiguilles, même si je reste avec le fil sur la droite. Ce sera pour une prochaine étape dans un autre ouvrage. Si je changeais maintenant ma tension serait différente et cela se verrait sur le pull.

Je n'ai toujours pas bloqué l'étole car les fils ne sont pas rentrés ! Elle reste à ma vue car si je la range je vais lâcher l'affaire et l'étole ne réchauffera pas mon petit cou cette année !

Pas de patch ces dernières semaines, mes petits blocs prennent un peu la poussière sur un coin de table. Je voudrais finir ce pull pour le porter avant la fin de l'hiver alors il est l'unique ouvrage entre mes mains en ce moment.
J'ai le sentiment de devenir lente. C'est comme si toute ma rapidité, mon efficacité au boulot se délitaient une fois arrivée à la maison.

La nouvelle bougie que je vais bientôt souffler ne va pas arranger cela !!!

Il fait froid en ce moment et pour ce premier jour de WE je n'ai pas mis le nez dehors. Au matin il y avait un soupçon de neige sur le jardin mais pas assez pour transformer le paysage. Les quelques courses à faire n'étaient pas assez importantes pour m'obliger à sortir !
Cela fait un an aujourd'hui que Papa est parti et je pense que ce ne sont pas seulement les basses températures qui m'ont poussée à rester dans mon refuge.

A demain.

Tadam, mon étole est terminée !

Un ouvrage terminé par semaine ; mais que m'arrive-t-il en 2023 ?

Bon soyons honnête : il y a encore une petit peu de travail ; il faut rentrer tous les fils, (il y en a un paquet) puis la bloquer et là je ne sais pas si les deux tapis de gym vont être assez grands. Mais surtout dans quel endroit de la maison vais-je pouvoir m'étaler ? Je ne vois que le couloir du coin nuit mais il va falloir ruser avec Pookie ! Puis étape ultime couper les fils.

Etape 24 détail

J'espère qu'elle va gagner en largeur ce qu'elle perdra en longueur car c'est vraiment très long et pas très facile à porter. Pour sortir pas de problème on s'emmitoufle mais j'aimerais l'enrouler autour de mon cou la journée sans disparaitre complètement.

J'aime le rendu de ce dernier point même si sa réalisation m'a contrariée. J'ai constaté que je perds de plus en plus la préhension avec ma main gauche. Du coup je me crispe et alors le pouce est saisi de tremblements. Jusqu'à présent je n'avais pas encore été aussi gênée. Je sens bien que je ne suis pas au top avec cette main mais j'arrive à composer. Là il m'a fallu prendre de grandes respirations et accepter que la réalité n'allait pas être ce que je pensais pouvoir faire. J'y suis arrivée mais ce fut un peu laborieux.
Du coup je ne suis pas prête à tricoter à la continentale avec le fil dans la main gauche !

Pour le pull j'avance bien. J'ai passé le cap des rangs raccourcis suivi de la mise en attente des manches. Maintenant c'est tout droit pour un bon moment. Super je vais pouvoir écouter des podcasts en tricotant !
Dire que je regardais la TV en tricotant quand j'étais jeune même avec des points compliqués ou du jacquard. Là je ne m'y risque plus vu mes détricotages sur le châle Calm & Joy qui est puni dans un coin pour le moment !

Pour mettre les mailles en attente j'ai acheté les fils en plastique qui font penser à des fils pour scoubidou. Ce tube creux vient se placer au bout de l'aiguille pour faire glisser les mailles. Sauf que cela ne glisse pas bien du tout. La petite surépaisseur boque les mailles.
Pour la seconde manche j'ai opté pour un gros fil de laine passé dans les mailles avec une des deux aiguilles à laine en plastique de la pochette Knit Pro. Plus facile pour compter les mailles au fur et à mesure.
Si vous utilisez ces fils en plastique merci de me dire ce que vous en pensez.

J'ai déjà appris plusieurs choses avec ce pull en plus du tricotage en rond : les rangs raccourcis à l'allemande pour ne pas faire de trou et un montage de mailles en cours de tricot qui se tiennent bien et restent régulières.
La magie du net de pouvoir bénéficier des vidéos explicatives depuis chez soi.

J'ai préféré tricoter que faire des "obligations" que je repousse de WE en WE. Grosse période de procrastination en ce moment.

Bonne semaine.

L'étole n'est toujours pas finie mais j'ai avancé sur le pull.

J'arrive aux rangs raccourcis pour creuser un peu le devant. Une première pour moi en travail circulaire.
Je me souviens avoir tricoté des rangs raccourcis pour le gilet sans manche de La Droguerie, le fameux GRR ici que j'ai détricoté depuis car beaucoup trop grand ; il me faisait penser au gilet dans le Père Noël est une ordure !!! Au prix de cette laine, les pelotes attendent l'idée géniale pour être utilisées.

Donc j'en suis là avant de replonger dans les explications.

L'étole sera pour dimanche... si je ne change pas d'avis. Toujours ce frein que je me mets lorsqu'il faut terminer un ouvrage. C'est ridicule !

A demain.

Cet avant dernier épisode est fini depuis dimanche dernier mais le manque de temps (et de motivation aussi) ne m'a pas permis d'écrire un petit billet.

C'était une bande facile qui est montée rapidement.

23e épisode en détail

J'espère pouvoir finir la 24e et dernière étape ce WE.

Cette semaine je n'ai tricoté que quelques rangs sur mon pull bleu du 1er janvier. Les rangs sont longs avec presque 400 mailles. Je n'ai pas de photo car ce n'est pas très différent de la semaine passée.

J'ai été plutot paresseuse le soir en rentrant, alors j'espère me rattrapper ce WE.

A demain.