Pardon pour mon silence.

Les mots ne venaient pas.

Plus de patch, pas de petites croix pour bavarder légèrement de choses et d'autres,  juste l'attente en grapillant encore des petits instants de bonheur.

Et puis la fin de l'attente...

Maison rose aux volets blancs, mes filles m'entourent lorsqu'elles sont avec moi, je retrouve les cailloux du jardin et les mauvaises herbes qui s'en sont données à coeur joie pendant les deux ans où je leur ai laissé la liberté et que je savourais la mienne.

Repartir comme le brave petit soldat que je suis ; mais deux fois c'est une de trop et je défaille devant les jours, les semaines, les mois, les années à venir.

J'ai choisi de ne pas fermer ce blog comme pour y laisser une petite note d'espoir mais je ne vais pas être bien bavarde pour le moment.

Pardon.