Manon s'est levée à 7h pour sa rando et j'ai émergé à 7h30 après une nuit sans réveil nocturne : c'est rare.

J'ai traîné un peu dans la maison avant de passer au jardin. Arrosage des semis. La pousse est très irrégulière. Dans les godets où j'ai ajouté plein de graines après le passage des baveux c'est l'opulence et déjà plus haut que ce qui avait été planté précédemment. Je pense que je vais pouvoir repiquer quelques plants dans des godets individuels pour les faire grossir avant la mise en terre. Je n'ai plus de terreau donc achat à prévoir.

J'ai attendu l'heure autorisée pour passer la tondeuse dans tout le jardin. J'avais l'impression qu'il n'y avait que quelques tiges par ci par là mais en fait j'ai rempli quatre paniers à étaler sur les bandes n°8 et 9 où la terre apparait déjà
Le reste est allé sur les pommes de terre qui sont toujours dans le sol. N'ayant pas d'endroit pour les stocker, elles sont mieux là pour le moment. Je verrai lorsque le temps va changer pour rentrer celles qui restent.

Passage sous la douche et déroulage du tapis de yoga sur ma terrasse d'où je me suis enfuie au bout d'un moment car les moustiques étaient trop nombreux. J'ai fini dans la maison sous le regard de Pookie en pilier de bar sur le siège.

Je suis allée nager sans être très motivée au départ en me disant que je ne ferai peut-être pas mon kilomètre en continu. Je me cherchais déjà des excuses ! Et puis longueur après longueur j'ai bien fait mes 2 km avec le kilomètre de crawl. C'était un peu long et pourtant j'ai gagné quelques secondes, surtout sur les premiers 500m. J'ai toujours la douleur dans le bras mais au fil de la nage je ne la sens plus sauf si je m'arrête et reprends.
Je pense que c'est la dernière cession à la piscine découverte qui fermera dimanche. Le temps annoncé pour demain risque de ne pas être favorable au barbotage dans l'eau.

Avant de rentrer je suis allée chercher du terreau puis quelques courses.
J'ai donc déjeuné à plus de 16h30 après avoir rentré le linge en catastrophe en raison d'une petite pluie soudaine !
Pookie en a profité pour rentrer se mettre à l'abri. Il était l'heure de son goûter. J'ai sorti ses friandises. La veille elle ne les avait pas voulu. Elle a regardé la première petite boule à croquer puis a essayé de la prendre en la faisant tourner dans sa bouche et en secouant la tête. Même scénario pour les suivantes.

Manon est rentrée peu après et je lui expliqué la réaction de Pookie. Depuis deux jours elle boude les croquettes et ne mange que la pâtée. Nous avions pris cela pour un caprice mais nous commençons à douter.
Elle est allée se coucher sur le lit de ma fille. Nous sommes allées la câliner de temps à autre. Elle bavait un peu. Nous avons réussi à lui regarder les dents et un peu l'intérieur de la bouche. La langue semblait un peu rouge et surtout il y avait une odeur. A part après l'ingestion de la pâtée, le reste du temps Pookie ne sent rien.

Nous étions samedi soir et le lendemain dimanche trouver un vétérinaire allait être compliqué.

Elle va certainement dormir avec Manon comme la veille.

A demain.

Une semaine différente dans mon quotidien puisque Manon est revenue à la maison mardi soir pour quelques jours.
Le midi je rentre pour mettre les pieds sous la table et je ne suis pratiquement plus sur le PC.
Côté jardin juste le temps de récolter pour les repas et d'arroser un minimum.
La maison est envahie par les affaires de ma fille qui s'étale... Les objets du quotidien changent soudainement de place ! Un peu de chaos dans mes routines habituelles !

Elle repart la semaine prochaine. J'aurai juste le temps de reprendre mes marques avant un retour qui devrait être plus long. Il serait temps qu'elle se pose et qu'elle envisage la reprise d'un job pour renflouer ses réserves pécuniaires !

Pendant son absence je vais prendre une semaine de congés pour avancer au jardin et vivre à un autre rythme. J'ai bien sûr commencé une liste de tous les travaux que je souhaite effectuer au jardin et je sais déjà que cette liste est trop longue même si le temps est favorable sans pluie et sans grosses chaleurs. De plus je sais que de nouvelles idées ou envies arriveront jour après jour qui me feront dévier de cette liste.

Demain ma fille part chez son Papa puis en randonnée donc j'aurai "quartier libre" pour retourner au jardin.

J'ai toujours eu du mal à pleinement vaquer à mes occupations avec les filles à la maison. Comme il y avait les WE sans les filles qui allaient chez leur Papa je me concentrais sur ces WE pour vivre pour moi. Les périodes à trois étaient trop prises par le quotidien d'une Maman solo pour me laisser l'esprit libre. Bien sûr je pouvais trouver un moment pour faire du patch, de la broderie ou une autre de mes passions lorsqu'elles étaient là mais c'était en dilettante sans m'impliquer vraiment ; j'avançais juste sur un projet en cours.  Si je voulais "créer" il me fallait pouvoir rentrer dans ma bulle en toute liberté de temps et d'espace.

Bien sûr je suis heureuse de ces moments partagés avec mes filles c'est juste le constat que je suis incapable de faire abstraction des autres et que je me sens comme empotée dans ma maison à ne pas trouver comment concilier mon rythme de vie et une présence.
Pas sûre d'être très claire dans mes explications alors je vous dis à demain avec un sujet jardin plus "terre à terre" !

A demain.

Un dimanche hésitant côté ciel et dans mes activités du jour.

Après le quotidien d'un début de matinée j'ai hésité sur les tâches à faire dans ma journée.
Ce WE avait lieu le Wool Music à Coutens dans l'Ariège. J'y étais allée l'année passée où j'avais vu voir en vrai les laines de Tricot et Stitch.
C'est à 1h30 de la maison donc pas question d'y aller au dernier moment.
Le samedi, si je voulais faire ce que j'avais prévu c'était un peu juste dans le timing ; j'ai opté pour le dimanche.
Mais là encore je me suis posée plein de question est-ce que c'était raisonnable d'y aller. J'ai déjà un stock de laines conséquent, je ne tricote pas en ce moment et j'ai des choses plus urgentes à faire.
D'un autre côté c'est le seul salon de laines dans mon coin et puis malgré la pluie l'an passé j'avais trouvé cela sympa et la route pour y aller agréable.

Tout en me faisant des nœuds au cerveau j'ai commencé par le jardin.
Un accrochage de cheveux dans les branches d'un rosier m'a transformée en tailleuse. Après le rosier, ce fut le tour du Buddleia puis un autre arbuste et encore un autre. Mon tas à broyer devient impressionnant.
Puis j'ai fini de désherber la bande du pommier où se trouvent les fraisiers. Je n'ai récupéré que peu de stolons que j'ai mis de suite en godets pour ne pas qu'ils sèchent.
Il me restera à désherber l'autre bande où il y a encore quelques fraisiers.

J'ai aussi commencé à désherber une nouvelle fois le massif des Althéas. Je pense qu'il n'y a pas d'autre solution que d'enlever tout le broyat pour bien nettoyer la surface et placer un paillis de chanvre. La pousse des herbes devrait de ralentir avec la fin de l'été. Ce n'est que du liseron pratiquement mais il est particulièrement envahissant.
Une tâche de plus pour ma semaine de vacances en septembre !

J'avais envisagé de tondre le potager mais le temps est passé trop vite ; la douche, le yoga puis aller nager et revenir manger avant de peut-être partir à l'aventure semblait compliqué.

Une fois propre j'ai déroulé le tapis sur ma terrasse. Pas de soleil, une température douce qui m'a amenée à choisir de profiter de ma journée plutôt que de courir pour tout caser. Je me suis sentie mieux une fois cette décision prise. Pas d'aventure laineuse pour cette année.
J'ai tranquillement fait ma séance, puis mes 2km dans une piscine fraiche et vide (en gagnant 8" sur mon km !!!), pris le temps de m'étendre sous un ciel gris pour sécher et rentrer déjeuner.

Je me suis installée dans le hamac sans rien faire, même pas un peu de lecture. Juste fermer les yeux et écouter les oiseaux qui devaient se goinfrer de figues dans les arbres du parc voisin. Comme des branches passent par dessus le grillage je vais en avoir à cueillir !
Une petite pause avant de retrouver le PC et quelques taches quotidiennes.

En fin de journée j'ai arrosé les deux bandes de haricots et les semis et j'ai cherché de la place pour 41 poireaux toujours en attente. J'ai bouché tous les trous possibles dans les parcelles pour finir de planter les derniers dans une bande du verger.

Dans les godets qui n'avaient pas encore eu de pousses il y a des petites feuilles pour les choux. Pour les derniers semis il faut attendre encore quelques jours. Je vais mettre les couvercles la nuit. Dans la journée avec le soleil je pense que les limaces restent cachées.

Mardi soir je vais chercher ma globe trotter à la gare. Quelques jours à redevenir toulousaine avant de repartir pour la Bretagne puis dans les Landes et Annecy avant de rentrer pour quelques temps....

Bonne semaine.

Pas de billet du vendredi car rien à raconter !

Cela fait quelques nuits que Pookie a décidé de dormir avec moi. Déjà elle vient s'allonger sur moi une fois que je suis bien installée sur le canapé devant la TV. Elle finit par partir pour s'installer sur un des sièges du bar.
Lorsque je pars me coucher elle attend que je sois bien installée avec mon livre pour revenir se coucher sur moi en donnant des coups de tête dans ma main si celle-ci s'immobilise. Elle est tellement peu câline que cela me surprend toujours lorsqu'elle fait ça.
Au bout d'un moment elle va s'allonger un peu plus loin sur le lit et elle passe la nuit là. Je laisse les portes ouvertes et elle peut sortir par la fenêtre des toilettes si besoin.
Les températures ont baissé cette semaine mais tout de même pas de quoi vouloir dormir au chaud !

Hier soir j'ai eu le lit pour moi seule et j'ai pu y trainer ce matin. Pas vraiment endormie mais on va appeler cela un "temps calme" comme pour les enfants. Cela fait du bien.

Dès que j'ai ouvert les volets Pookie est arrivée pour son repas en miaulant sa désapprobation pour ce retard.

J'ai commencé par lancer un arrosage de la bande du verger qui est équipée puis je suis remontée voir mes semis. Catastrophe ! Rip les toutes petites pousses de choux qui avaient sorti leurs feuilles. A la place une bave luisante. Pour le reste je n'avais pas vu de pousses donc je ne sais plus si les limaces sont passées par là. Ce sont bien des grosses limaces marrons que j'ai retrouvées sous ou sur les côté des barquettes. Je n'aurais pas dû les mettre au sol, elles n'avaient même pas à escalader.
Du coup j'ai modifié mes installations et tout déménagé ; j'ai rapatrié des barquettes sur une petite table sous la terrasse couverte. J'ai apporté la table de rempotage avec son plateau en zinc dans le coin des semis pour y placer trois autres barquettes. Je ne peux pas en mettre plus, dommage car visiblement les baveux n'aiment pas le zinc. A voir si je mets les couvercles transparents le soir.
Pour récupérer des barquettes j'ai dû sortir tous les pots de fraisiers qui s'y trouvaient pour les placer au sol. Il n'y a que sur ces barquettes que je peux placer un couvercle. A première vue les limaces ne s'y attaquent pas : il n'y a pas de fraises à grignoter !

J'ai remis des graines dans tous les godets puis recouvert de terreau. De toutes façons les graines sont plus ou moins périmées alors cela ne sert à rien de les garder. Du coup il y a la dose ! J'espère que les baveux ne vont pas croire que c'est buffet à volonté !

J'ai arrosé à la main la seconde bande du verger. Il me reste un bout de fraisiers à désherber mais il commençait à faire bien chaud. J'ai arrosé aussi l'ancienne bande des fraisiers le long du grillage sud où j'avais mis en terre des boutures. Tout pousse bien même les mauvaises herbes que j'ai arrachées. Il va falloir trouver une place à ces plants à l'automne.

Dans mes allées et venues j'ai déterré des pierres qui affleuraient sur la surface où j'ai arraché les hautes herbes. Les plus grosses sont venues retenir la terre du dernier plan d'Erigéron qui se répand lors de l'arrosage.

Je voulais tondre le potager et le verger mais c'était trop juste pour aller au marché avant la fin donc à la douche avant d'enfiler une tenue correcte pour aller chercher mes quelques courses.

Au retour nouveau changement de tenue pour ma séance de yoga. J'ai tellement apprécié de pratiquer à ce moment de la journée avant la piscine et avant de déjeuner que je réitère.

Une bonne séance à l'intérieur car il fait de plus en plus chaud dehors pour retrouver du calme après le speed du matin.

Direction la piscine avec déjà 35° à presque 14h. J'ai eu peur qu'il y ait du monde mais c'était encore très calme. Les personnes sont arrivées quand je partais.
J'ai enfin mis la montre à mon poignet et regardé l'heure pour déjà savoir comment de temps je mettais pour tout mon programme. Je n'ai pas remis de montre depuis la fracture du bras, cela m'a fait tout drôle et je l'ai enlevée tout de suite après. En plus j'étais dans les derniers trous du bracelet tellement ce poignet est plus épais maintenant que le droit. Je n'y avais jamais fait attention.
1 heure pour faire 2.1 km. Je me suis trompée dans ma cession avec palmes et j'ai fait 100m de plus. Allais-je tout de même faire mon kilomètre en continu ? Oui. J'ai mis le même temps pour faire les 500 premiers mètres et les derniers à l'erreur de seconde près car j'ai regardé rapidement le cadran sans m'arrêter : 26'16'' pour un kilomètre.
Je ne fais pas de culbute, je n'ondule pas après l'impulsion contre le mur donc je perds du temps à chaque changement tous les 25m. Au moins cela me donne une idée et puis un petit challenge pour progresser. Travailler la culbute et lorsque j'y arriverai en faire une tous les 100m car je sais que cela va me demander beaucoup d'énergie. Au fur et à mesure de mes progrès (j'espère !!!) j'en ferai de plus en plus.
Si j'ai de la volonté pour aller à la piscine cet hiver j'ai bien envie de prendre un cours pour corriger mes erreurs et voir la culbute et les ondulations. Peut-on encore progresser à 64 ans ?

En tout cas je suis rentrée contente de moi (il m'en faut peu !) pour manger mes tomates mozza !

Le ciel s'est totalement couvert pendant que je nageais mais il a continué de faire très chaud.

En fin de journée le vent s'est levé. L'orage était annoncé par météo France mais il n'y a rien eu ici par contre à une cinquantaine de kilomètres il y a eu d'énormes grêlons.
Je n'ai rien fait de spécial dans ce qu'il restait de l'après-midi.

Demain dimanche il devrait faire plus frais.

A demain.

En ouvrant le volet côté terrasse couverte ce matin pour que mon fauve qui piaffait d'impatience vienne se restaurer j'ai découvert qu'une tornade était passée par là !
Ma terrasse est actuellement envahie de tout un tas de choses que je ne peux plus ranger dans la cabane pratiquement écroulée et d'autres qui se sont arrêtées là en attendant une autre destination. Il y en a partout, au sol, sur la table, sur le reste d'étagères d'une vieille armoire. C'est en désordre mais je sais reconnaitre lorsque ce désordre s'aggrave !
Je pense qu'il y a eu une bagarre de chats cette nuit car ce qui était sur la table s'est retrouvé par terre (pauvres fleurs en godets qui n'ont toujours pas trouvé de place où vivre leur vie, et ce qui était au sol a été renversé. Un portant à serviette en bois que j'ai chiné il y a des années dans l'idée de le restaurer et de le garnir de mes patch s'est écroulé sur le pot de papyrus qui se sont tous pliés. Ils étaient si jolis dressés en étoiles vers le ciel. Snif !
Bon  le terme tornade est un peu surévalué mais cela a dû se quereller sévère pour ce résultat.
Je ne sais pas si Pookie, qui a dormi dehors cette nuit, était de la partie. Elle n'a rien avoué en entrant dans la maison. Elle était juste un peu mouillée car il est tombé quelques gouttes je suppose en fin de nuit.

Un temps bien couvert avec un vent frisquet m'a fait remettre les manches longues pour aller désherber la suite de mes fraisiers. Encore plein de stolons que j'ai ensuite mis en pot ; j'en bien ajouté une vingtaine ; j'ai 72 godets ! Il me reste encore des fraisiers à nettoyer donc encore des stolons à récupérer. Sur le tas certains ne vont pas reprendre mais je vais certainement en donner car tout ne tiendra pas dans les bandes prévues pour cette culture ou alors il faut que je crée de nouvelles parcelles. Je ne vais pas mettre en terre avant octobre normalement.

Du coup ayant les mains dans la terre j'ai mis en pot les 5 boutures de laurier blanc qui avaient fait de belles racines dans l'eau.

J'ai rempoté des boutures de Locinera qui trouvaient le temps long dans leur pot qui partait en morceaux. J'espère pouvoir les mettre en terre à l'automne si la remise en état du massif "Provence" à l'entrée prend forme.

Le soleil étant capricieux et la température restant fraiche j'ai repoussé à la fin de journée ma cession de natation et j'ai déroulé mon tapis de yoga sur ma terrasse. C'était parfait. Les moustiques étaient absents, le soleil lorsqu'il sortait des nuages jouaient entre les branches du chêne et le petit vent d'ouest un peu réchauffé était réduit par les panneaux et la végétation. Comme la veille j'ai trouvé que j'avais fait une belle séance. Pourquoi je n'arrive pas à me souvenir suffisamment de ce bien être pour être plus régulière dans ma pratique ???

Après le déjeuner j'ai repris place à l'arrière de la maison pour remettre les mains dans la terre.

Puisque je parle depuis un moment de faire des semis il était temps de m'y mettre.
J'ai commencé avec les betteraves jaunes (je n'ai plus de graines pour les rouges), puis des navets, des poirées. Si cela prend je pourrai peut-être les mettre en terre là où les semis en place ne donnent rien.
J'ai aussi fait des godets de choux Kale, choux brocoli, chou chinois et de fenouil. La date limite des graines est pour la plupart dépassée alors j'ai mis plus de graines dans le godet. A voir. Si cela ne donne rien j'achèterai des plants de choux.

J'ai poursuivi avec les premières boutures. J'ai taillé le Deutzia du massif "Erables" qui est déjà une bouture pour en préparer cinq que je groupe dans le même gros pot. Même méthode pour un arbuste dont je ne connais pas le nom dont j'avais "volé" quelques bouts de branches dans le jardin "En Galinou" ; du coup j'appelle cette plante ainsi. J'ai taillé aussi le seringat, toujours issu de bouture pour un pot de cinq tiges. Pour finir j'ai coupé cinq boutures dans le cotonéaster au bord de la terrasse couverte. Il va falloir tailler sévèrement tous les arbustes de ce coin mais ce sera trop tard pour les boutures au cœur de l'automne.

Voici mon coin rempotage à l'arrière de la maison avec les sacs de terreau et autres, les pots de toutes tailles, des planches sur tréteaux qui n'ont plus que le souvenir d'une table. Il y aurait beaucoup de rangement et de tri à faire pour que ce passage de l'arrière de la maison soit plus "joli". Quand la plus grande partie des godets et pots auront trouvé leur place j'y verrai plus clair... peut-être.

Mon allée plantations en attente à l'arrière de la maison 

Semis et boutures diverses première partie 

Semis et boutures diverses deuxième partie 

Les boutures des années précédentes qui sont toujours en attente !

Il aurait été l'heure d'aller nager mais le ciel se couvrait et il ne faisait pas très chaud. J'ai renoncé à faire mes 2 km. A voir si dans la semaine j'ai du courage en sortant du bureau.

Du coup j'ai commencé la plantation des poireaux. Je me suis décidée à les mettre sur la parcelle n°5 entre les deux lignes des derniers semis qui ont du mal à partir à part quelques carottes. Arrivée à la fin il me restait encore beaucoup de poireaux car ils sont souvent par deux voire par trois dans le mini godet. J'en ai plantés en bout de la bande n°1 au pied du prunier Reine Claude issu d'un noyau. J'ai enlevé toutes les herbes qui avaient envahi le pied du pommier issu de pépin en bout de la bande n°3. J'avais semé des fleurs mais à part une ou deux qui sont sorties le reste a été colonisé par des herbes indésirables. Sur cet emplacement j'ai planté des poireaux autour du petit arbre fruitier.
Quelques poireaux sont allés sur la bande n°4 entre deux pieds de courgette, à la place d'un plant de courgette n'a jamais voulu grandir. 
Sur une barquette de 60 godets j'ai planté 61 poireaux et il m'en reste 41 !
Il va vite falloir trouver de la place. Il faut que je me renseigne si les haricots et poireaux font bon ménage pour les planter entre les deux lignes des bandes n°6 ou n°7.

C'était une journée idéale pour bien jardiner ; il ne reste plus qu'à attendre que cela pousse...

Ces quatre jours m'ont fait du bien mais j'avoue que je ressens la nostalgie du dimanche soir car j'ai envie de faire encore tellement de choses.

Bonne semaine.

Un semblant de grasse matinée avec une Pookie qui attend sagement son repas et c'est parti pour ajouter des herbes sur le tas à tondre. Je frôle de trop près les ronces, mes bras et mes jambes en portent les éraflures. C'est sans doute mon dernier arrachage à mains nues avant de passer à la version Schwarzenegger avec le taille-haie. Cela ira aussi sous la tondeuse mais le résultat sera plus "piquant" ! A cause du bruit je ne pourrai pas attaquer à la fraiche le WE. Les températures ont l'air de baisser la semaine prochaine alors le soir après le boulot si je sens un énorme courage monter en moi...
J'ai fini de pailler la bande n°5 où poussent très doucement quelques poirées (ou blettes), de timides carottes mais pas de betteraves ni de navets.
Le reste de paillage est allé aux pieds de tomates, poivrons et aubergines pour compléter ce qui se dissout dans la terre avec les petites bêtes.

La journée de pluie et le retour du soleil ont fait pousser des courgettes que je n'avais même pas vues se former. Je me désespérais d'en manger et de farcir des courgettes rondes, je suis servie. J'aurais jurer ne pas les avoir vues quelques jours plus tôt à moins d'avoir la vue qui baisse très sérieusement.
La première seule et unique petite courgette a été mangé avec Manon lors de son retour et heureusement qu'il y avait de l'accompagnement !

Il ne reste plus qu'à passer en cuisine maintenant...

Une bonne douche et... yoga !

Oui d'en avoir parler hier je me suis dit pourquoi pas. J'ai déroulé le tapis à l'intérieur et ce fut une belle séance avant d'aller nager. Même le bras gauche a eu l'air d'apprécier les mouvements où j'essayais de le détendre.

Personne dans le grand bassin avec une eau fraiche mais qui me convient très bien. Et 1900m avec 900m de crawl continu. J'ai trouvé cela plus long que fatigant. Pour cette partie je décompte les longueurs plutôt que de les ajouter C'est psychologique mais cela m'aide. Bien sûr j'avais oublié la montre à la maison : c'était bien la peine ! De toutes façons je ne l'avais pas mise en service, ce que j'ai fait cet après-midi et je vais vite la mettre dans le sac de piscine. En la regardant j'ai découvert des petites vis pour permettre de l'ouvrir et de changer la pile. J'ai repris l'ancienne qui a bien aussi les petites vis, je n'y avais pas prêté attention . Par contre il faut vraiment un tout petit tournevis. A voir…

Avant de rentrer je suis passée acheter du terreau. J'ai eu l'impression que les sacs étaient plus faciles à manipuler entre le chariot et le coffre de la Kangoo. Mes petits bras se seraient-il musclés ? Comme j'ai des petites mains je n'arrive pas à agripper correctement les sacs et mes pauvres muscles des bras ont du mal à compenser. Là c'était presque facile, je dis bien presque !

Après un déjeuner toujours aussi tardif j'ai bullé un peu dans le hamac sous une température idéale avec un léger vent. Même si le ciel se couvre de plus en plus c'était bien agréable.

Je pense que le yoga avant la piscine était une bonne idée car au retour je ne me sentais pas disposée à dérouler le tapis. Mes envies étaient : manger et repos !

La pluie qui était annoncée pour demain semble ne plus être d'actualité. Pourrai-je arriver à mes 2km à la piscine ?

A demain

Quand la pluie arrive et que les températures baissent autour du 15 août j'ai toujours le sentiment que l'été s'en va doucement et il y a un peu de nostalgie. Déjà les soirées ne sont plus aussi longues et le soleil n'est pas levé quand moi je me lève. En plus cette année l'été a mis le temps à arriver après un printemps en demie teinte.

Enfin le soleil est de retour ce vendredi et c'est bien agréable alors je profite.

J'ai repris mes occupations dans les hautes herbes. C'est de plus en plus difficile car j'approche de mes talus couverts de ronces et les vilaines en ont profité pour se faufiler et se bouturer. Je suis obligée de couper au sécateur les ronces pour pouvoir attraper des poignées d'herbes sans danger pour mes mains. Je me demande si l'utilisation du taille haie ne sera pas plus adapté maintenant même si il y a des herbes au ras du sol.
Comme je n'ai pas avancé très vite à cause des ronces je n'ai pas passé sous la tondeuse le tas. J'en ajouterai demain pour faire une bonne cession de tonte.

J'ai filé à la piscine pendant midi. L'eau avait fraichi mais cela ne me gène pas et en plus j'avais la piscine pour moi toute seule une bonne partie du temps. Et hop 1800 m avec 800 m en crawl continu. Je suis contente. J'ai ressenti une gène dans le bras à l'effort mais aussi le sentiment que l'eau me massait. Comme je n'ai pas l'impression que les 4 jours sans nager ont changé quoi que ce soit autant continuer.

Dans l'après-midi je suis allée faire quelques courses avec entre autres deux missions : trouver des poireaux et voir pour la pile de la montre.
J'ai acheté une barquette de 60 poireaux, voire plus car il y a parfois deux tiges pour moins de 8€ donc même mes frais d'essence pour aller plus loin sont largement remboursés par rapport au prix sur le marché l'autre jour !
Pour la montre le changement de la pile coute le prix de la montre donc j'en ai acheté une nouvelle. C'est rageant et pas du tout écolo. Je vais tenter tout de même de voir si je n'arrive pas à ouvrir le ventre de la première. Le problème c'est l'étanchéité ensuite comme je l'utilise pour nager.
Donc si je ne l'oublie pas demain je devrais connaitre la durée de ma "lenteur" !

J'ai continué à me documenter sur le cyanotype. A moi maintenant de trouver et de mettre à sécher du feuillage ou des fleurs pour de futures compositions.

Toujours pas de reprise du yoga. Même à l'intérieur les moustiques sont de la partie le soir. Je sais c'est une mauvaise excuse. Il faudrait le faire le matin. Mais je suis un peu raide à ce moment-là et je veux profiter de la fraicheur relative pour être au jardin. Ou alors juste après la douche avant d'aller nager. Le yoga perd alors son coté zen à vouloir le caler entre deux occupations. Après la natation mais j'ai un peu faim à ce moment là. Oh la la ma vie est compliquée !!!!!!!

A demain.

Ce n'est que vers 10h que je me suis rendue au jardin pour savoir par où j'allais commencer. Les hautes herbes humides ne m'inspiraient pas trop pour un passage sous la tondeuse. Autant profiter de la souplesse du sol pour extirper quelques mauvaises herbes. La bande où se trouvent la plupart des fraisiers est de nouveau très envahie. Comme je l'ai déjà dit je ne suis pas sûre que le broyat soit très adapté pour cette culture.
Au fur et à mesure où j'arrachais les herbes je repoussais le broyat vers les petits fruitiers. Du coup l'épaisseur sera plus conséquente et le chemin pour trouver la lumière moins facile pour les herbes. A voir si je laisse la terre nue pour le moment ou si je dépose du paillis de chanvre.

J'ai aussi coupé les stolons qui partaient de pratiquement chaque plant. Je les ai mis de côté pour les planter en godet avant de savoir où les mettre en terre. Soit je les intercale ce qui réduira la surface à pailler et fera aussi une bonne couverture du sol soit je leur trouve un autre endroit.
J'avais aussi l'idée de mettre en place des poireaux entre les deux lignes de fraisiers. Il parait que ces deux cultures vont bien ensemble. Il faut déjà que je trouve des poireaux à repiquer. La dernière fois où je suis allée au marché ils étaient à 4€  la douzaine et en plus ils n'avaient pas l'air très en forme. Chez Delb@rt il n'y en avait pas. A voir dans d'autres jardineries...

Je n'ai fait qu'une partie de cette parcelle. J'ai aussi fait le ménage dans les tiges des framboisiers et murier pour couper celles qui sont mortes.

J'ai trouvé les deux poires qui restaient sur l'arbre au sol. Une était déjà pratiquement dévorée et l'autre n'avait que quelques attaques. Je pense qu'avec la pluie elles sont tombées au sol ; les baveux se sont chargés d'une ensuite les fourmis ont pris le relai. J'ai récupéré la moins abimée et je l'ai trempée dans l'eau pour noyer les fourmis (mon meurtre de la journée !). Il suffira de couper la partie croquée !
Ce poirier acheté à Ald! et non L!dl en 2021 ( j'ai retrouvé ici dans mon petit journal de bord !) a fructifié pour la première fois cette année. J'avais 4 poires en formation. Il y a quelques semaines une première poire est tombée ; elle était un peu abimée donc je l'ai jetée dans les ronces. J'ai ensuite regretté car j'aurais pu enlever la partie marquée.  Il y avait une branche avec tout un tas de petites bêtes avec une sorte de toile autour que j'ai coupée et jetée aussi. Puis quelques jours plus tard une seconde poire s'est abimée sans tomber. Je l'ai cueillie et mangée après avoir coupé la partie endommagée. Elle était déjà très sucrée bien qu'un peu ferme. De mémoire c'est la variété "Conférence". J'ai donc laissé les deux autres sur l'arbre en me demandant comment reconnaître le moment de la cueillette. Je n'ai pas eu le temps d'avoir ma réponse.

La photo souvenir avec les deux poires restantes avant la chute !

Afin de ne pas les laisser sécher comme la fois précédente j'ai procédé à la mise en pot des stolons. Sur ma cession de fin juin il reste 9 plants qui semblent bien reprendre sur la quinzaine mis en godet. J'en ai ajouté 37. il va falloir trouver la place !!!

L'après-midi était bien avancé lorsque j'ai déterré quelques pommes de terres pour mon déjeuner. Ce qu'il restait de la poire était délicieux. Je pense qu'elle était arrivée à maturité. A noter pour l'année prochaine autour du 15 août si le poirier continue à produire.

Le temps est resté gris avec de rares passages du soleil. J'ai "bricolé" le reste du temps, ce qui revient à dire que je n'ai pas fait grand chose.
Pour le cyanotype il me faudra un peu d'organisation et bien sûr faire sécher des végétaux donc ce n'est pas pour tout de suite. Au moins j'ai un peu étudié le sujet.

J'ai hésité à aller nager en fin de journée. Je pense que j'aurais été pratiquement seule dans la piscine vu le temps et la température. Mais j'ai une douleur au bras gauche qui me gène pour certains mouvements alors j'essaye de gagner du temps avant de trop le solliciter. Heureusement que je ne suis pas un pilier de bar car c'est justement le "lever de coude" qui pose problème ! Ah il ne fait pas bon vieillir !
Mais demain si le soleil est de retour j'irai nager car à trop s'écouter on ne fait plus rien et puis je suis plutôt adepte de soigner le mal par le mal.

Un 15 août tranquille.

A demain.

Super un WE de 4 jours ! Zut il pleut ! Jamais contente !

Ce mercredi le pluviomètre déborde. Le jardin est content, la jardinière un peu moins car les jours à venir semblent bien humides. Il faudra faire avec.

Du coup ce soir j'ai fait un détour par un grand centre commercial et je suis allée chez Cultur@ pour m'offrir un kit pour commencer le cyanotype. Cela fait un moment que je louche sur cette technique par intermittence et que j'ai envie d'essayer.

Il y a quelques années j'avais acheté de la peinture pour tissu. Une fois peinte on mettait le tissu au soleil recouvert de feuilles ou formes diverses. Les parties masquée ne recevant pas le soleil elles devenaient plus claires. Cela fait longtemps et je n'ai plus tout en tête. J'avais fait cela sur des toiles à broder sur lesquelles je faisais ensuite des petites croix.
J'ai acheté un livre sur cette technique du cyanotype même si j'aurais pu trouver des explications sur le Net.
Donc si le temps est trop mauvais j'ai de quoi m'occuper, encore qu'il me faudra un peu de soleil pour mener à bien le processus. Comment ça j'ai des tas d'ouvrages divers et variés en cours ???

A demain pour savoir si je patouille ou si je jardine ou si je me décide pour une autre activité...

Un peu longue à me mettre en route ce dimanche matin. Il faisait déjà plus chaud qu'hier et plus je trainais plus cela allait s'accentuer.

J'ai regardé le départ marathon des femmes pour me donner du courage et c'était parti pour des plantations au potager. Oui planter en plein soleil, rien ne m'arrête !
Dans la bande n° 8 j'ai enlevé les deux plants de courges ratatinés et je les ai remplacés par les deux qui me restaient en pot. Ils n'ont pas vraiment grandi depuis mais ils ont plus de chance de croitre en pleine terre. A moins qu'ils ne suivent le mauvais exemple des autres et s'étiolent.
Puisque j'étais dans les plantations et qu'il me restait un fond de terreau j'ai enfin mis en terre les 6 plants d'œillet d'Inde qui se désespéraient de trouver un jour la terre promise. Ils ne sont pas en grande forme mais ils sont en place dans la bande n°1 dans les espaces entre les courgettes qui grandissent mais dont les fruits avortent. Du coup j'ai arrosé à la main cette parcelle en même temps que les plantations. J'en ai profité pour désherber la parcelle mais surtout les bordures.

Puis retour à mon travail de forçat au milieu des herbes sèches en faisant des pauses pour voir l'avancée du marathon. J'ai l'impression que j'ai beaucoup plus transpiré que les coureuses !!!
Après l'arrivée il était l'heure de la tondeuse. Il y en avait d'ailleurs d'autres qui tournaient dans le quartier.
Avec la tonte qui est de la paille j'ai protégé entre les paniers de la bande n°5 et sur un côté.. Comme cela ne pousse pas vite je n'enlève pas les paniers. Cela évite que les félins du quartier gratouillent la terre à cet endroit. Une certaine Pookie ne s'étant pas gênée de faire ses besoins au bord d'un panier. Je sais que c'est elle je l'ai vue faire depuis mon poste d'observation sur la terrasse !

Les deux parcelles de haricots paillées... avec ma sueur pour produire cette protection ! J'aime quand c'est net à côté de mon fouillis !!!

Sous la douche je me demandais si j'allais à la piscine maintenant où si j'attendais la fin de journée. Il faisait vraiment chaud avec un vent brulant et malgré mon bronzage je sentais que mon visage et mes avants bras avaient pris un coup de soleil.
J'ai tergiversé encore un moment en me disant que je prenais le risque de ne pas vouloir ressortir ce soir après un après midi paresseux.

Alors j'ai enfilé le maillot puis ma robe "de plage", mis le change dans le sac de piscine et hop dans la voiture.

Les deux lignes étaient prises et ça barbotait plutôt que nageait. Eh oui je ne suis pas aimable. J'ai salué le maitre nageur du jour, un qui doit faire des ravages auprès des demoiselles, j'ai posé mon barda sur le bord, me suis mouillée les bras et la nuque et j'ai plongé après avoir vérifié qu'il n'y avait personne Oui je ne suis pas aimable mais pas impolie tout de même !
Et devant moi la ligne s'est dégagée !!!  Comment ça je me la pète ???
Il est resté une dame plus lente mais qui me laissait gentiment passer si nous arrivions ensemble en bout de ligne.
J'ai fait mes 1700m dont 700m de crawl continu. Pour avoir une idée du temps que je mets j'ai regardé la pendule accrochée au parasol du maitre nageur mais j'ai oublié de regarder à la fin !!! C'est fou l'importance que j'y mets ! Il faut que je remette une pile dans ma montre Décatl°n (si ce premier prix le permet) pour vérifier comme je suis lente.
Je n'ai pas regretté de m'être un peu forcée à venir nager. Surtout que j'ai fait des gratouillis à un chaton en présentant ma carte en arrivant.
Hier j'avais remarqué une affiche sur la vitre pour 4 chatons en photo. Trois avaient trouvé une famille et le petit dernier était à l'accueil avec la jeune fille car sa nouvelle famille allait venir le chercher. Comme il miaulait fort dans son panier elle l'a sorti et il s'est laissé caresser.

Après le déjeuner j'ai joué sur l'ordi : entre Sudoku et défis avec des cartes pour entretenir mes neurones. Mais si ma logique va bien c'est le vocabulaire qui me joue des tours. Je devrais plutôt envisager les mots croisés !
Au début cela me faisait rire quand lors d'une conversation un mot simple me faisait défaut. Je masquais par un toussotement, une pirouette verbale. Puis je l'ai remarqué aussi à l'écrit lorsque je rédige mes petits billets. Soudain le nom du sujet dont je parle (par exemple "concombre") ne me vient pas à l'esprit.
Je n'oublie pas encore le nom de mes filles et je sais toujours rentrer seule à la maison mais je me pose des questions. Est-ce simplement l'âge qui fait que les connections de mes neurones ont des ratés ou autre chose ?
Je suppose que le docteur saura trouver des réponses à mes questionnements si je me décide à prendre rendez-vous !!!
Je suis plutôt du style à voir le docteur que lorsque je ne peux pas faire autrement. Pourtant je pense que j'aurais besoin d'un petit check up...

Après-midi très mou et très chaud à regarder des podcasts. Je sens que je vais enchainer sur la cérémonie des JO et au lit.

Trois jours au bureau et j'aurai quatre jours pour arracher à tout va dans le jardin...

Bonne semaine.