Même si l'unique hamac installé a été l'objet de chamailleries voire de ruses pour s'y installer j'ai tout de même pu l'occuper souvent et y lire douillettement installée avec un oreiller (grand luxe de cet été, un oreiller chacune !) réchauffée par la Babette au crochet qui était du voyage ; initialement pour mon Petit Bout, elle a très gentiment accepté de me la prêter lorsque la fraîcheur tombait.

J'ai tout d'abord lu "Sexe, diamants et plus si affinités" de Lauren Weisberger : pas de la haute littérature mais facile pour commencer mes vacances et faire une pause dans la lecture de "Dans le scriptorium" de Paul Auster que j'avais commencé lors de mes derniers trajets métro.

J'allais le reprendre lorsque mon Ado Préférée a posé "Zulu" de Caryl Férey au bout de quelques pages en prétextant qu'elle n'accrochait pas. Par curiosité j'ai lu le début et j'ai failli sauter le repas du soir tellement j'étais dans le bouquin. Très dur mais j'ai aimé : par contre je me suis rendue compte de mon inculture de l'Afrique du Sud. Mes quelques connaissances datent du livre l'Alliance tome 1 de James A. Michener ; je crois que j'ai laissé tomber le tome 2. Il serait bon de réviser...
Suite à mon enthousiasme elle a repris le livre et l'a adoré. Du coup nous avons acheté Hutu et Haka : à suivre...

J'ai ensuite repris Paul Auster. J'ai moyennement accroché sur ce livre même si j'admire l'écriture. J'avais lu précédemment Mr Vertigo qui m'avait charmé. J'aime son étrangeté mais à petite dose !

Pour emporter sur la plage alors que la marée était à son plus fort coefficient "Les déferlantes" de Claudie Gallay étaient appropriées. J'ai beaucoup aimé ce livre et j'ai envie de lire d'autres romans d'elle pour voir si mon plaisir se confirme.
Puis ce fut au tour de Tatiana de Rosnay avec "Boomerang" : là aussi beaucoup de plaisir à suivre l'histoire qui me "parlait". Je vais sans doute poursuivre avec "Elle s'appelait Sarah".

J'ai fini les vacances en commençant "Les jolis garçons de Delphine de Vigan. L'été passé, sur les conseils de mon Ado, j'avais découvert "No et moi" et l'histoire m'avait plu. Là je suis un peu plus réservée mais il me reste encore plus de la moitié de ce (petit) livre pour changer d'avis.

Et bien sûr ne pas oublier le journal  si l'on veut être au courant de tout sur l'île !

J'ai fait très peu de photos pendant ces vacances alors j'ai demandé un p'tit dessin à mon Ado Préférée pour illustrer ces souvenirs.

C'est moi là !

Pour m'occuper les mains à l'ombre je suis partie avec un grand sac à ouvrages.

Dedans il y avait de la couture, du patch, du tricot, des petites croix. Les livres étaient ailleurs !

Dès le premier jour j'ai fini la tunique pour mon Petit Bout (il me restait à coudre les boutons et crocheter les bretelles. Le tissu et les granny là sont devenus... la tunique (ou la robe) à la mode sur la blogosphère

Je n'ai pas mon mannequin préféré sous la main !
En tout cas elle l'aime, ouf ! Elle a tout à fait la silhouette pour ce style de vêtement. Sa soeur et moi avons des rondeurs trop féminines !

Ensuite j'ai attaqué une grille sur l'ïle de Ré (coucou LN !). J'avais surfilé ma toile le matin du départ et glissé tous les fils nécessaires dans la petite trousse prévue pour le voyage à Paris là. A défaut de voir la Tour Eiffel pour de vrai elle aura senti les odeurs maritimes !
L'île prend forme

J'ai encore du travail... le temps à l'ombre (on croirait que j'étais en prison !) passe aussi vite qu'au soleil, je confirmel ! A poursuivre lors de ma pause déjeuner peut-être... avec un CD de bruit des vagues pour y croire !!!

Côté patch j'ai été obligé d'attendre de trouver un dé à coudre. J'avais oublié le mien (seul oubli dans mon sac fort complet : défaut d'organisation !) ; pour piquer dans plusieurs épaisseurs de tissus collés sur de la viseline c'est un outil obligatoire. Comme j'ai des petits doigts, la recherche ne fut pas aisée pour en trouver un à peu près à ma taille (encore un peu grand !).
Donc sur les trois blocs que je m'étais empressée de coudre un seul est presque fini. Maigre résultat !

J'avais également emporté du tricot avec le châle Saroyan qui n'est pas sorti de sa pochette. Je lui ai préféré un gilet-boléro au point mousse d'un seul morceau qui m'a permis d'avancer un ouvrage tout en surveillant les devoirs !
Qui a parlé de vacances ?
Un jour de grisaille le cahier de vacances de mon Petit Bout est sorti du panier et mon Ado Préférée a dû plonger dans son bouquin de maths. Elle a voulu changer d'option pour la terminale et remplacer les arts plastiques par les maths alors il faut se remettre à niveau. Et pour parler de base 2 ou 12 il valait mieux que je n'ai pas à compter mes points... en base 10 !!!
J'avais tricoté quelques rangs avant de partir sur l'île pour me rendre compte de la tenue du fil Bambou de Bergère de France acheté en solde. Il me plait tellement que j'ai aussi pris quelques pelotes en prune pour un autre châle peut-être... J'en suis rendue au début des manches. Ce n'est pas gagné pour le porter cet été et réchauffer la robe dos-nu offerte pour la fête des Mères par mes filles.

Quelques soirées devant la TV devraient m'aider...

Je pensais faire mieux mais même si à l'ouest le soleil se couche plus tard ce n'était pas suffisant.
J'entends déjà les ronchons qui marmonent (si, si il y en a !) que si j'avais emporté un seul ouvrage il aurait pu être terminé ! Oui elles ont raison mais où serait le plaisir le matin lorsque les filles dormaient encore de m'installer sans bruit sur un fauteuil et de poser mon sac et mes petons sur un autre dans la fraîcheur matinale et de ressentir l'euphorie du choix.
Et puis il y avait le vélo, la lecture, la baignade, le temps à rêvasser dans le hamac, les bisous et les câlins à caser !

A suivre...

Avec les dates d'oral de la première partie du bac de mon Ado Préférée, je n'avais pas réservé pour le camping. J'aurais pu passer un petit coup de fil en juin mais si l'emplacement de l'an passé n'avait pas été libre, je n'aurais pas su lequel choisir sur le plan sans le voir.
En plus nous sommes parties un jour plus tard à cause d'un problème de douleur dentaire : une nuit blanche ne me mettant pas dans les meilleures conditions pour prendre la route.

Donc vendredi 9 juillet arrivée au camping : l'emplacement visé sera occupé à partir du dimanche suivant donc il nous faut en trouver un autre. Pas de chance !
Nous voilà arpentant le terrain, plan en main. Les conditions étant de l'ombre et des arbres pour accrocher les hamacs. Vous me direz s'il y a de l'ombre, c'est que les arbres ne sont pas loin. Eh bien pas toujours car il faut des troncs suffisamment éloignés et sans arbuste entre !!! Et j'y tiens à mon hamac pour l'image vacances ! Mais ce n'est pas qu'une image, c'est génial pour lire et rêvasser en se balançant mollement...
Bref un seul terrain libre pendant notre séjour ombragé et qui ne permettrait l'accrochage d'un seul hamac : à côté d'un bloc sanitaire !!!
A 17h tout est calme de ce côté mais le reste du temps c'est un lieu stratégique. Mon habitude du camping m'a toujours fait m'éloigner le plus possible d'un tel endroit.
J'ai beau refaire un tour : pas de miracle, les emplacements qui auraient pu correspondre sont occupés.

Je les sens très mal ces vacances !

Installation de notre petit coin et première nuit. C'est fou le nombre de personnes qui viennent faire la vaisselle vers minuit !

6 h 30 c'est une heure de lever pour partir au bureau mais aussi celle du réveil en vacances cause nettoyage des sanitaires !
Je reste zen dans mon sac de couchage en écoutant le bruit du jet puis de la brosse ou encore celui du raclement du tuyau sur le sol.
Petite acalmie jusqu'à 7h30 où un vacancier crira à Thérèse qu'elle lui apporte l'éponge !!! Lui est un adepte de la vaisselle au petit matin ! Ce sera aussi le plus grand bavard des bacs à vaisselle : il a un avis sur tout et ne parlons pas de sa femme !!! Pourvu que je n'atteigne jamais ce cap de ronchonnade ! Dire qu'ils sont présents au camping de mai à fin septembre : un retraité... Par contre je serai au courant de tous les potins et je suis calée sur les prises de pêches de l'ïle ! Tout cela sans jamais aller faire la vaisselle : je suis en vacances ! Mes filles se chargent de cette tâche pendant 15 jours ! Merci mes Petits Bouts
Lorsque mes filles émergent, j'ai l'oeil noir et tombant et j'ai très envie de rentrer à la maison. Dans ma tête j'envisage déjà d'écourter les vacances.

Comme je vais passer beaucoup de temps dans ces quelques mètres-carrés pour cause d'ombre je pourrai écrire un livre :" Le bal des sanitaires" : il y aura les bébés qui hurlent parce qu'ils ne veulent pas aller sous la douche, les allées et venues nocturnes pour se soulager avec portable et conversations sans fin et ceux qui profitent de ce point lumineux pour refaire le monde en pleine nuit, sans parler des retours de pêche, de plage, de balades avec leur lot d'histoires... Il y a du avoir des moments de silence... avec le roucoulement des pigeons

Lorsque jeudi dernier nous avons plié notre campement, un arrivant, à la recherche de l'emplacement idéal, est venu nous demander ce que nous pensions de celui que nous quittions. Il voyait un intérêt certain à la proximité des commodités et la "vie" que cela apporte malgré mes anecdotes sur les bruits divers et variés. Je dois vraiment être sauvage !!!

Mais la première journée commence et il y a du soleil...

A suivre...

Île de Ré depuis le pont

J'ai troqué le matelas pneumatique pour mon lit depuis jeudi soir mais entre le rangement, les lessives, le jardin, le courrier (le vrai et le virtuel) et un manque d'inspiration certain pour raconter ce retour je n'ai pas montré patte blanche (ou si peu bronzée !!!).

Alors ces vacances que je redoutais ?

Eh bien je suis partagée. Bien sûr j'ai vécu à un autre rythme et puis il y avait la mer (rien que la regarder et se vider l'esprit dans le mouvement des vagues en écoutant Phil Collins ou Stan Getz c'est déjà les vacances !) mais j'ai eu le sentiment de "rester en retrait".

Encore deux petites journées-vacances et mardi retour des journées-marathon (version été tout de même) avec des collègues qui partent, des nouvelles à former ! Je ne sais pas exactement ce qu'il en est car je n'ai pas voulu appeler avant le départ pour ne pas me prendre la tête pendant les vacances avec ce qui m'attend...
Les filles sont parties samedi midi chez leur Papa pour le WE et je les récupère lundi matin pour un dernier après-midi ensemble puis ce sera un peu à la maison, un peu chez le Papa, la petite partira chez les grands-parents quelques jours pendant que la grande aura toute liberté dans la journée pour se gaver d'ordi, de TV, de rencontres avec les copines ! Puis le 5 août départ de ces demoiselles pour les vacances avec le Papa pour trois semaines.
Et très vite la rentrée sera là avec les cahiers neufs, les livres à couvrir... et les dizaines de fiches à remplir !

Le potager a progressé (plein de courgettes dans le frigo ramassées par mon Papa mais les tomates sont vertes et l'unique aubergine est version mini)... et les mauvaises herbes également. Un avant-après le passage du roto-fil hier.

Et ce qui m'attend encore...

A bientôt pour des "Souvenirs de vacances"...

Vite, vite j'ai terminé le bloc 6 prêt à broder

Pour le bloc 7 je n'ai fait que le premier encadrement du motif appliqué : pas eu le temps de faire mieux.

Cela me fait trois blocs à broder.

Bien sûr je n'emporte pas que celà. Il y a également du tricot, des petites croix et des bouquins. Oui, oui je ne pars que 15 jours

Nous devions partir ce jeudi en fin de matinée mais petit contre-temps "dentaire". Du coup départ vendredi à la fraîche !

A bientôt...

Je vide, j'allège, je me débarasse !

Ma maison est une annexe de la maison de la presse ! J'aime les magazines de déco et je les stocke. Cela sert d'isolation !!!

J'ai des Côté Sud depuis le n° 36 de 1995. A l'époque j'étais dans les plans de ma première maison et je rêvais de murs chaulés, de calade, de tomettes... J'ai commencé à stocker ce magazine au cas où je serais à court d'idées. Les photos faisaient rêver... les prix un peu moins !

Comme toute collection une fois commencée on a tendance à continuer, même si ces dernières années j'y déniche moins d'idées et d'envies. Suis-je blasée ou tout simplement le temps me manque-t-il tellement que je n'arrive pas à relever une idée sachant qu'elle ne sera jamais mise en chantier ?

Pour les autres magazines de déco je ne garde qu'une année et au fur et à mesure des nouvelles publications je donne le mois de l'année précédente. Enfin il y a encore quelques temps j'avais plusieurs années d'avance !
Mais je conserve également les Côté Ouest (nostalgie bretonne) depuis le n° 2, j'ai loupé le 1 ! Côté Est parce que mes années en Haute-Savoie ont laissé des regrets et bien sûr le petit dernier Côté Paris parce que j'y ai vécu 20 ans !!! Bref toujours une bonne raison d'engranger des pages et des pages. Toutes ces revues ont droit à leur classeur en bois du suédois parce qu'elles sont lourdes et qu'il leur faut du solide. Seulement voilà les étagères sont pleines et la pile qui s'entasse dans le salon faute d'étagère, est presque aussi haute que moi.

Donc ce matin, avant de récupérer mes filles pour nos vacances communes, j'ai attaqué le dépouillage de la plus ancienne revue avec les tartines du petit déj'. J'enlève les pages qui me plaisent ! Je ne peux pas donner comme ça sans rêver encore un peu...
Il va m'en falloir des petits dej' sur la terrasse pour arriver au bout...
Petit travail de fourmi qui peut sembler dérisoire. Pourquoi ne pas tout balancer à la benne ??? Parce que les feuillets détachés il va falloir les classer, les ranger...

Il est loin le temps où adolescente puis jeune adulte, je collais toutes mes envies dans des cahiers (j'en ai une vingtaine !) surtout les pages des 100 idées... A croire que le temps passait plus lentement

Non je n'ai pas décidé de m'offrir un collier de saphirs ! Restons modeste... et tricotons !

Depuis un moment je louchais sur ce modèle, le Saroyan. Au départ il ne m'avait pas plus. Guère défini entre châle et écharpe, je lui trouvais un air bancal. Mais comme seules les imbéciles ne changent pas d'avis, hier c'est avec ce modèle en tête que j'ai fait un remue-ménage dans mes cartons de laines et de cotons.

Je suis tombée sur un joli fil bleu dont je ne savais que faire. Pas assez de pelotes pour un pull et comme c'est un coton des 3 Suisses, je ne risque pas d'en retrouver. Mais pour un châle-écharpe cela pouvait faire l'affaire et super, j'allège le stock. Hop, des aiguilles et j'attaque les explications, direct sans les lire avant ! Même pas peur !

Bien sûr maintenant on utilise des "marqueurs". Dans mes grandes années tricots, les explications n'en parlaient pas ou peu ; ni pour de la dentelle, ni pour le jacquart.
Seulement je n'ai pas de marqueur. J'avais bien pensé en bricoler lors de ma prochaine fournée Fimo pour les boutons de mon Mystère Born to Quilt premier du nom. Mais ce n'est pas pour tout de suite et là il y avait urgence !

Lors de la dernière virée en ville j'ai acheté un lot de perles en verre et de quoi réaliser des boucles d'oreille, qui sont toujours à l'état d'idée. Cela tombait bien. Une tige, une perle allongée, un crayon pour enrouler le reste de la tige, un petit coup de pince pour fermer la boucle et voilà un joli marqueur... bleu !

Je sais, j'aurais pu utiliser un simple bout de laine d'une autre couleur mais cela aurait été moins chic, non ? AAgrandissez l'image et vous plongerez dans un lagon...

Quelques détricottages plus loin et le coup à prendre avec le "balancer" de marqueur, les premières feuilles se forment.
Voici où j'en suis. Hier il y en avait un petit bout dans ma mosaïque bleue.

Et je rejoins le groupe de tricoteuses de châles Yes We Shawl pour ne pas laisser tomber en cours de route.

Alors le premier d'une nouvelle addiction ? Je suis en vacances d'abord et je peux tout me permettre pour me faire du bien

Il était plus que temps de faire une nouvelle bannière. L'été est là, enfin c'est gris aujourd'hui sur Toulouse et j'ai encore envie de bleu pour faire suite à l'article d'hier !

J'ai eu du mal à trouver ce que je voulais faire. Trop de kits engrangés dans l'ordi pour ne pas arriver à dénicher le détail de l'un ou de l'autre qui conviendrait à mon idée de départ ; plus le temps pour le digiscrap et je perds la main, mon côté rigide et symétrique ressort face au manque de pratique... Mais il reste le bleu voilà bien l'essentiel !

C'est seulement en la finalisant que j'ai compris la symbolique du parasol...
Ah le subconscient parfois!!!

Enfin elles sont là, ces trois semaines de vacances tant attendues !!!
Pas facile de ne rien faire ou tout au moins de lever le pied ! Pourtant vous m'y encouragez dans vos gentils messages...
Mais je ne suis pas douée pour ça.

J'ai pourtant essayé de mettre en pratique vos conseils et pour cette première journée je n'ai rien fait... ou presque. Je suis passée d'un petit truc à un autre, j'ai sorti des tas de laines pour faire des petits essais ; un point par ci, une association de couleurs par là. J'ai butiné version papillon plutôt qu'abeille laborieuse et j'ai mis la maison en désordre...

Pas de filles avant demain donc c'est plus facile.

Les vacances sont là et pour moi la couleur des vacances c'est le bleu.

Comme Delphine a choisi cette couleur pour son exposition de mosaïques voici la mienne. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas participé.

Un flacon chiné
Pochette pour ranger les bonnes adresses des vacances
Crème pour petites mains fragiles
Porte-clef de ma chambre-boudoir créatif
Mini lampe pour petite tempête
MON sac à main
Mini arrosoir Ikéa qui palit au soleil
Rideau de ma chambre
Chèche au crochet
Pot venant de l'île de Sifnos
Mon I-Pod
Rideau de la douche
Début du Saroyan
Mon lit avec des draps anciens teints
Rideau sous le lavabo des WC

Ce n'est qu'un échantillon car du bleu il y en a partout à la maison...

Dans le dernier Hors-série Côté Sud cher pour un magazine mais les photos font tellement rêver (et le rêve n'a pas de prix !) il y a une mosaïque que j'adore.

Et pour terminer, une photo de l'endroit où je voudrais vivre un jour. Enfin la solitude me semblerait presque nécessaire et non insupportable... Je guetterais la voile qui arriverait, peut-être

Il manque une broderie abandonnée ou un patch en cours sur un coussin...
mais je peux les apporter !