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19 avril 2010

Une bannière de printemps, enfin !

Pour un souffle de changement, une nouvelle bannière...

Banni_re_printemps_2010

... pour rester dans les petites fleurs !

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19 avril 2010

Quelques fleurs

Sur la toile

Tour_Eiffel3

et pour le jardin

Retour_jardinerie

Retour de la jardinerie hier.

A suivre pour les plantations... 

18 avril 2010

Tour Eiffel terminée !!!

La tour seulement, pas ce qui l'entoure ! J'ai mangé, dormi, bouquiné, tricoté et fait quelques points sur le 11e bloc du Born to Quilt aussi...

Il n'y a pas à dire les moyens modernes tout de même !!!
Là où Mr Eiffel (enfin tous les pauvres ouvriers sous-payés) a boulonné pendant 26 mois j'ai mis deux jours pour croiser les fils (plus maniables que les barres de fer).
A défaut de pouvoir la visiter cette semaine (re-visiter en fait puisque mon Papa il y a des années me l'a faite gravir à pied jusqu'en haut !) des informations à lire sur la grande Dame de Fer.

Tour_Eiffel2

Encore du ciel bleu et du plein soleil aujourd'hui. Ma semaine de vacances au soleil ??? L'astre ne se moquerait-il pas un peu !!!

Tour_Eiffel2_detail

17 avril 2010

Construction de la Tour Eiffel

Vacances_2010

J'ai posé les premières petites croix hier soir.

Tour_Eiffel1

Mr Eiffel a commencé au ras du sol moi je m'élève...avant de retomber !

Un petit peu chaque jour de cette semaine de vacances un peu spéciales ! Où en serai-je à la fin de la semaine ????

Entre, je vais faire du patch, du crochet, du tricot... Après tout je suis en vacances et j'ai le droit de faire ce que je veux...

Tour_Eiffel1_d_tail

15 avril 2010

Décidément !

Le voyage à Paris est annulé !

Décidément à chaque fois que je vais au rendez-vous de la dermatologue c'est le branle-bas de combat !
Elle a enlevé les fils et j'ai une très jolie petite cicatrice... Elle m'a dit que je cicatrisais bien. Je suis bien contente... car il va falloir recommencer, plus large et plus profond !!!
Le crabe est là !
Elle avait déjà pris un rendez-vous pour la semaine prochaine avec un spécialiste au vue du résultat des analyses. J'ai une batterie de radio et échographie à faire avant. C'est cool je serai en vacances !
Visiblement il y a urgence.
En dehors de cette prochaine exérèse (cela sert de regarder Dr House !) dont je suis sûre, pour le reste il me faudra attendre mercredi pour connaître mon proche avenir.
J'ai déjà une idée de ce qui pourrait se passer car elle a pris le temps de m'expliquer et de me dire qu'elle était à ma disposition pour d'autres renseignements. J'ai comme l'impression que l'on va se revoir souvent.
De toutes façons même si cela ne s'est pas répandu je reste à risque avec une surveillance accrue tous les 3 mois.

Moi qui souhaitais que l'on s'occupe de moi, je suis servie ! Et si le spécialiste (oui je sais déjà que c'est un monsieur) était un beau célibataire attendri par mes tâches de rousseur... Quitte à avoir l'imagination qui s'affolle autant aller dans ce sens !

A la sortie du cabinet, le temps de respirer bien fort sous le doux soleil printanier (j'ai assuré pendant tout l'examen mais bon, mon quota de résistance a des limites), j'appelle le Papa de mes filles pour mettre fin au voyage des demoiselles vers la Capitale où je ne serai pas pour les récupérer. Elles resteront un peu plus chez Papy-Mamie. Heureusement il sait agir dans ces circonstances et c'était plus facile de commencer par lui.

Puis j'ai appelé mon Papa. Il est resté pragmatique mais j'ai bien senti qu'il était ébranlé. Il m'a dit qu'il était là si je voulais en parler et ne pas gérer cela toute seule. Mais de toutes façons je gère le reste toute seule alors un truc en plus, au point où j'en suis. Et cela commençait à coincer un peu dans la gorge donc pour éviter de larmoyer dans ma Kangoo je suis repartie au boulot.

Là, j'ai de quoi faire. J'ai même l'impression que le boulot se multiplie jour après jour. Mais pour être honnête j'avais un peu de mal à me concentrer.
Comme différentes opérations informatiques ne passaient pas, j'appelle un informaticien au secours et avec lui cela fonctionnait très bien. Pour rire il me dit que j'ai la "chkoumoun", que j'ai un mauvais sort... s'il savait. Il m'a entendu rire au téléphone mais les larmes coulaient en même temps !

Les filles savent que notre virée parisienne est annulée et que je dois poursuivre les examens. J'aime autant qu'elles soient loin. C'est plus facile pour moi de gérer. Je peux pleurer si cela me chante et me lamenter sur mon sort. Je me demande tout de même à qui j'ai pu faire du tort pour déguster autant depuis quelques mois !

Sans ce petit séjour parisien je vais faire des économies, je pourrai finir quelques encours, je pourrai jardiner et puis tampis pour le soleil puisque c'est lui le grand responsable.
Pour contrer le destin je commencerai la Tour Eiffel pour mon premier jour de vacances, sur la chaise longue au soleil, na !

C'est fou les pensées bizarres que l'on a dans ses moments-là.
Pendant que la dermatologue me donnait des explications je pensais en vrac que je ne pourrais pas augmenter mon stock de Liberty, que par ma faute les filles allaient devoir être surveillées de près pour leurs petites tâches de rousseur, que j'allais avoir un trou dans la cuisse, que l'on ne voudrait plus de mon sang, que j'avais acheté des Bensimon Liberty en urgence pour rien, que j'é"tais privée de mes vacances tant attendues, que j'allais me ruiner en crèmes solaires si je veux mettre le nez dehors, que ce n'était pas la peine que je laisse pousser mes cheveux depuis 3 mois en ressemblant à une furie si c'est pour les perdre éventuellement dans un traitement une fois qu'ils seront à une bonne longueur (bon je vais un peu vite en besogne là !)...

On a tous une épée de Damoclès au-dessus de la tête puisque l'on se sait mortel. Ce n'est pas cette issue fatale qui me fait peur. Mais la notion de maladie avec son lot de contraintes, d'obligations, d'interdictions et peut-être de douleur. Etre amoindrie, dépendante. Déjà cette vieillesse que je sens poindre jour après jour m'en donnait un avant gout amer difficile à accepter mais là...

On va me répondre, il faut garder le moral et se battre. Mouais. J'ai déjà le sentiment de me battre pour tout le reste depuis un moment alors je fatigue. Et puis se battre c'est bien joli mais il faut une envie, un but. Je peine à trouver le mien.

J'arrête là.

J'ai hésité à lâcher le morceau. Cela ne se fait pas ! Et puis ce mot "cancer" c'est presque pire qu'un gros mot. Moi cela ne me choque pas.
Je ne sais pas encore trop bien ce qu'il représente pour moi, si ce n'est qu'un parasite à apprivoiser ou déjà un redoutable malfrat.
Je crois que je cherche une raison à tout cela. Je ne suis pas croyante et pourtant je ne peux m'enlever de l'idée qu'il y a un bien pour un mal et inversement. Alors je voudrais connaître le bien...

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12 avril 2010

Un dimanche occupé

Dimanche matin j'étais bien décidée à ajouter un bloc de plus à mon Mystery I de Born to quilt : l'avant-dernier !

Je farfouille dans mes tissus. Evidemment c'est toujours celui que l'on cherche qui n'apparaît pas. Je choisi une autre association de couleurs. Je vais accrocher une lessive pour me donner le temps de la réflexion. Nouvelle idée, je fais un tour sur l'ordi pour la laisser mûrir...Bref j'ai pinaillé pas mal en étant à moitié satisfaite. La création, ce n'est pas ce que l'on croit indecision

Je coupais tranquillement toutes mes petites pièces de tissus lorsque j'ai reçu un mail qui a bousculé le déroulement de ma journée.

Samedi soir j'avais commandé la Tour Eiffel version quaker sur le site de Jardin Privé. Ayant terminé "Douceur de Vivre" je m'autorisais à commencer une nouvelle broderie. Cela faisait un moment que j'avais remarqué cette jolie grille. J'ai pensé que le prochain voyage à Paris était l'occasion toute trouvée de la débuter. Je ne ferai sans doute pas beaucoup de petites croix dans la capitale mais il me fallait la glisser dans mes bagages !

QC06

Et dimanche, Nathalie répondait déjà à ma demande. Je n'ai eu de cesse de chercher la toile dans mon stock que je pourrais utiliser, puis les coloris des trois fils nécessaires. Mon choix s'est porté sur du bleu (pour aller dans ma chambre) mais grisé pour s'approcher de la Dame de fer.

Comme la machine à coudre était de sortie, j'ai surfilé le carré de lin blanc que je venais de découper et je me suis interrogée sur le rendu de mes couleurs de fils.
Pas question de commencer déjà la broderie. Ma première croix sera parisienne !
Pourquoi ne pas broder un mini coussinet à accrocher à une paire de ciseaux esseulés ?
Choisir un petit motif dans la grille et tester les couleurs, ajouter un "Paris", mes initiales et l'année en 1 fils pour tout caser et voilà un petit carré brodé qui me satisfait.
J'ai justement un joli tissu Ikéa dans ce ton qui ferait un dos de coussinet assorti.
Comme j'ai un grand morceau de tissu, pourquoi ne pas faire une petite pochette pour y glisser, la toile, la grille et les ciseaux ? Pas une vraie trousse à ouvrages mais une pochette selon le modèle expliqué .
Vite je coupe, je plie, je pique et voilà une pochette. Mais les ciseaux et les aiguilles vont se perdre la-dedans alors une plus petite s'impose. Et hop je recommence en version mini.
Un peu trop simples ces pochettes, même si je les voulais réalisées en peu de temps. Un petit noeud sur la petite et une fleur au crochet avec un bouton pour la plus grande... et la journée est presque finie.

Trousse_Paris

Trousse_Paris_d_tail

J'ai encore le temps d'encadrer de tissus la précédente broderie de Jardin Privé, de la monter sur la plaque d'isorel, de la mettre en valeur sur le mur (mais où sont passés les clous ?)

Douceur_de_vivre_tableau

Il est plus que l'heure de décrocher la dernière lessive avant l'humidité du soir, de ranger un peu (un tout petit peu puisque je suis seule cette semaine), faire quelques points sur le bloc n° 11 délaissé, histoire de dire puis de retrouver les touches du piano.
Le nocturne de Chopin ne progresse pas. Une grosse démotivation depuis mon interprétation semi-ratée dont je n'ai pas parlé. Qu'en dire de plus que les fois précédentes ! Pourtant hormis les moments de stress, il paraît que j'ai très bien joué... Moi je ne sais plus, je ne retiens que ces ratages, trous et autres loupés !
Mon Petit Bout qui avait bien joué lors de ce mini concert a eu une seconde mention avec 16 sur 20 au concours de Castres. Et un diplôme de plus à accrocher sur le mur de sa chambre smile

Appel de ma collègue ce matin : prolongation de 15 jours... mais il y a une amélioration m'a-t-elle dit ! Espoir de la voir présente à mon retour de vacances...

10 avril 2010

Direct from London

Il y a trois semaines mon Ado Préférée a passé un WE à Londres avec son Papa. Au menu visites et shopping ! C'était le cadeau paternel pour ses 18 ans.

Elle a pensé à sa Maman et lui a rapporté des tissus... non, non pas des Liberty (elle est juste passée devant le magasin) mais des Fats Quarters du Victoria and Albert Museum. C'est bien plus original, isn't it wink

Tissus_London

Ils sont superbes mais je ne sais pas encore comment je vais les utiliser. Je vais sans doute hésiter à les couper comme les Den Haan &Wagenmakers que j'ai achetés au Quilt Expo de Strasbourg, il y a... longtemps et qui sont lavés et bien pliés dans une boite !!!

Le bus londonien s'est accroché aux clefs de la maison.

Enfin un samedi de printemps superbement ensoleillé !
J'ai passé le rotofil dans la partie du haut seulement car cela m'a déjà pris 3 heures !
J'étais sceptique sur le démarrage de l'engin après 6 mois d'oubli dans la cabane. Mais j'ai tiré sur la ficelle 4 ou 5 fois et le moteur a vrombi. Vu la hauteur des herbes bien vertes et pleine de sève la progression était lente.
Brusquement la tête s'est bloquée. J'arrête tout et entrepend un démontage. Je nettoie, je souffle, je remonte : le moteur démarre sans problème mais la tête refuse obstinément de tourner.
Je sors la potion magique de la caisse à outils : la bombe d'huile" 3 en 1" ! Je vaporise dans tous les petits interstices, je force à la main ; pas de résultat.
Je laisse le tout assez dépitée et vais déjeuner.
Au retour, je recommence et miracle cela bouge de quelques millimètres. J'insiste dans un sens puis dans l'autre. J'ajoute un peu d'huile et enfin cela tourne facilement. Je redémarre, appuie sur la poignée des gaz et c'est génial ! J'arrête, je remonte tout (je suis une pro maintenant !!!) et me voilà repartie dans un coin où l'herbe est tellement drue qu'il faut plusieurs passages pour en arriver à bout. L'engin est soumis à rude épreuve pour une reprise et il se bloque à nouveau. L'eau des plantes s'infiltre et grippe l'entrainement qui commence à veillir.
Mais cette fois je connais le remède et 10 mn plus tard je poursuis la coupe !

Version jungle

Avant1 Avant2 Avant3

Version green... bio (avec mauvaises herbes et trous naturels)

Apr_s1 Apr_s2 Apr_s3

Pour la partie du bas on verra un autre samedi...

J'ai sorti la chaise longue, un magazine de jardinage et j'ai profité de la chaleur du soleil...

8 avril 2010

Merci :-))

Vos messages me mettent presque toujours du baume au coeur mais sans doute encore plus cette fois-ci.

Merci

Il est vrai que depuis plusieurs mois, malgré mon côté "brave petit soldat", je suis à fleur de peau. Je m'accroche, je m'accroche ; bec et ongles, tout y passe mais inexorablement je glisse et je ne sais pas vers quoi.
Non, non ce n'est pas le syndrome d'Alice. Je suis allée voir le film avec les filles dimanche de Pâques. Mouais, à part Johnny Depp qui lui est extra !

Les deux réflexions désagréables m'auraient agacée en d'autres temps sans pour autant me porter à l'introspection.

Je sens que je me heurte de plus en plus à tout se qui se passe autour de moi (et encore je ne suis pas l'actualité de près) ; je rentre de plus en plus dans ma tanière car je n'ai pas trouvé d'autre solution pour me protéger. Si je me laissais aller à mes réactions primitives, je serais continuellement en train d'aboyer, de m'agacer et finir par avoir envie de taper sur tout le monde car les mots semblent être de plus en plus limités pour changer les choses. Faites remarquer à quelqu'un qu'il vous marche sur le pied. Vous espérez le retrait de cet écrasement et éventuellement des excuses. Non il vous marche sur l'autre et en prime vous crie dessus. Soit vous fuyez en vous sentant coupable soit vous lui faites une tête au carré (en espérant qu'il soit moins fort que vous !)   

Donc je reste chez moi en me faisant toute petite.

Il y a 15 jours je n'ai pas passé le roto-fil car le samedi j'étais absente et le dimanche, c'est le dimanche ! Trois heures de wroum-wroum aurait de quoi agacer le voisinage.
Mais les contraintes que je m'impose sont ridicules et ont leurs limites. Elles n'ont de valeur que si les autres les appliquent également. Dans le cas contraire elles engendrent le ressentiment, la frustration, l'impression de se faire avoir. La bonne conscience d'être dans le "droit" chemin ne suffit pas à calmer cette colère naissante.

Ce WE pascal est passé sans que je ne m'en rende compte. J'étais avec les filles et je n'ai pas eu le temps de sortir un bout de chiffon.

Le samedi matin courses et rendez-vous chez une dermatologue : retour l'après-midi en urgence et petite intervention avec 6 points de suture. Ce n'est même pas moi qui ai fait la couture ! Un bout de moi dans un flacon pour analyse...  Dire que ma balance n'a rien remarqué ! Verdict dans une semaine, en même temps qu'elle enlèvera les fils. En attendant je joue à l'infirmière tous les soirs.
Vendredi prochain j'ai rendez-vous chez la dentiste ; que va-t-on encore m'enlever ?

Du coup j'avais prévu le roto-fil ce samedi après-midi pour enfin retrouver un terrain praticable : c'est reporté ! Il vallait mieux rester tranquille.

Le dimanche midi ce fut Pâques à trois ; on sort la belle vaisselle, l'argenterie et les chocolats dans l'assiète. Pas un temps à les cacher dans le jardin ! En plus on risquait de ne pas les trouver dans les hautes herbes ! L'après-midi entre les averses j'ai mis les filles à contribution pour me donner un coup de main et tailler ce qui dépassait côté arbustes. Mon Petit Bout a retrouvé ses massifs d'hortensias à étêter comme les années passées et mon Ado Préférée a fait la navette pour porter tout ce que je coupais au sécateur. Je n'ai pas voulu faire de bruit avec le taille-haie !! Poursuite de la taille le lundi toujours aidée.
Le jardin est loin d'être digne d'une visite mais il fait un peu moins fouilli. Et ce qui est fait n'est plus à faire...

Le reste du temps libre, je l'ai passé sur mon ordi tout neuf pour récupérer des fichiers, mettre un peu d'ordre. Décidément cela devient une manie "l'ordre" ! Ah si je pouvais aussi le faire dans ma tête !

Encore deux jours de labeur et enfin un vrai WE à moi toute seule ! J'ai hâte. Ah ! Sortir mes petits tissus et que ma seule préoccupation soit : "Ces petites fleurs s'accordent-elles avec ces carreaux de chemise ?"

Les filles partent avec leur Papa puis chez les grands-parents la première semaine et nous nous retrouvons à Paris pour ma semaine de vacances et notre seconde découverte de la Capitale après celle de l'an passé, .

Pour établir le programme parisien, il y a encore du travail...

1 avril 2010

Quand on n'est pas d'accord avec moi...

J'ai retrouvé une boite mail sur Windows7 ! Enfin mon Papa l'a trouvée pour moi smile

Donc mes mails s'affichent... dans une organisation différente d'Outlook mais je vais m'y faire !

Par contre pas moyen de m'envoyer un mail à moi-même ! Vous allez me dire à quoi ça sert ? Elle devient tellement narcissique qu'elle s'écrit à elle-même ! Non je n'en suis pas encore là. C'était juste pour un essai. Avec Outlook, oui mais pas avec Windows Live. Mystère.

Voilà mes mails qui s'affichent... et tout en haut deux messages que je qualifierais de désobligeants en écho à mes écrits sur mon blog. Diantre !

A la première lecture, mon sang ne fait qu'un tour et j'ai les doigts qui piaffent d'impatience pour répondre à ces "attaques". Je n'ai pas souvent ce genre de messages. Les quelques habituées qui laissent une trâce de leur passage le font avec gentillesse ou s'abstiennent. Je comprends tout à fait que l'on ne soit pas d'accord avec moi ou que mes dernières petites réalisations ne déchaînent pas les foules. De même sur les blogs que je fréquente je ne m'extasie pas à chaque fois et un billet peut me laisser désorientée alors j'évite de me lancer dans une polémique.

Mais je considère que tout peut être constructif ; un cours de streching et un dîner partagé avec mon Ado Préférée plus loin je reprends ma lecture.

Répondre, pas répondre ? Sur le blog, en privé ?

Je pourrais carrément supprimer les messages. Mais là cela heurte mon côté "consciencieux" ! Il faut bien assumer son côté "exigeant".

Je pourrais laisser passer mais je n'ai pas cette sagesse-là.

Alors Lili (que je ne pense pas connaître) me dit :

Ppppffffffff ça fait plusieurs fois que je viens sur ton blog, et je trouve que tu te plaints tout le temps !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Reste un peu plus zen !!!

Comment ça je me plains tout le temps ?

A la réflexion c'est un peu vrai. Depuis quelques temps j'ai du mal à voir mes journées d'une façon positive. A ma décharge (eh oui je me sens obligée de me justifier !) j'ai ma dose de soucis plus ou moins grands à gérer seule ces derniers mois (et encore je ne vous dis pas tout !) qui s'ajoutent à une situation qui perdure et que je vis mal.
Mais je vous accorde que je pourrais dire "Ouf aujourd'hui il ne pleut pas" bien que le ciel soit gris, "Super la voiture a démarré" alors qu'elle aurait pu faire un caprice, ou encore "Le pied, j'ai une voisine de banquette de métro qui sait se tenir" plutôt qu'un énergumène affalé et répandu qui vrombit des oreilles...

Bref simplement me dire chaque matin : je suis vivante et la vie est belle ! La méthode Coué a ses limites !

Quant à me plaindre, je trouve le terme exagéré et Lili n'a pas du déceler la petite note d'humour derrière mon exaspération face à certaines situations. Ou alors je suis bien plus mauvaise conteuse que je ne le crois !
Mais il paraît qu'il ne faut pas dire qu'une personne ne comprend pas mais que l'on s'est mal exprimé : vieux retours de stage de communication...

grin

Le message de Cath (que je ne pense pas connaître non plus) est lui beaucoup plus incisif

Tout d'abord, en suivant ton feuilleton, j'ai cru que c'était toi le patron dans cette boîte....... Je pense que c'est à lui de poser des questions à cette personne pour comprendre sa situation, et non pas à toi qui est une employée comme elle. Ok tu es débordée et tu dois faire face à son travail, mais il y a des limites à la non tolérance !!!!!!
Aparemment ton travail représente beaucoup pour toi, mais tout le monde n'est pas comme toi.
Tu sais, il y a quelques années j'ai travaillé dans le privé, et bien quand nous voulions prendre nos vacances, les patrons étaient hors d'eux, 15 jours avant ils nous menaient la vie dure, pas de bonjour, et nous faisaient la gueule.......alors que nous demandions seulement nos 5 semaines de congés, rien de plus !!!!!
Et quand je leur ai appris ma grossesse........je ne te raconte même pas ce que j'ai entendu, et subit !!!!!!! à l'époque j'étais jeune et je n'ai rien dit, mais avec du recul j'aurais dû, car vraiment c'est honteux !!!!!!!

Donc, je comprends aussi ta collègue, les arrêts maladie sont un droit et si elle en a besoin, elle a bien raison d'en profiter. Et il faut savoir qu'elle n'a pas à se justifier, ni à vous rendre des comptes, le médecin qui l'arrête mentionne le motif et c'est tout !!!!!
Le reste c'est sa vie PRIVE !!!!!!

Pose toi aussi la question de savoir pourquoi elle agit comme ça ????? elle a peut-être de
bonnes raisons.........

Arrêttes de faire du zéle !!!!

Eh non je ne suis pas le boss ! Remarque je ne voudrais pas sa place !!!
Je ne suis qu'une employée qui ne siège pas parmis les grands ! Par contre je suis responsable du service administratif et il m'incombe que cela tourne rond entre nous trois qui composons ce service ! Pas de quoi prendre la grosse tête !

Mon travail ne représente pas tant que ça. Une rente identique et je retourne à mes chiffons et bouts de fils sans problème. Je ne me "réalise" pas dans mon job, ni dans le reste d'ailleurs. J'ai bien trop de doutes sur ma petite personne pour penser en ces termes.
Mais quitte à le faire autant le faire correctement dans la limite de ses possibilités bien sûr.

Désolée de savoir que tu as subi des boss indélicats mais je n'ai pas d'éléments pour débattre sur ton histoire.

Pour avoir des droits il faut aussi répondre à des devoirs.
Avoir raison de profiter, ne pas se justifier, ni rendre de compte je trouve que c'est pousser le bouchon un peu loin lorsque l'on se targue de faire correctement son travail. Mais je suis sûre que de plus en plus de personne partage l'avis de Cath...

Quant à me poser la question de savoir si ma collègue a de bonnes raisons d'agir de la sorte, sous le non-dit de me remettre en question à cause de ma "non tolérance" je ne me sens pas visée puisqu'elle a agit de la même façon il y a quelques années avant ma venue dans la société.

Pour terminer je ne suivrai pas le conseil "d'arrêter de faire du zèle", n'en déplaise à Cath.
Premièrement, je ne pense pas à avoir d'ordre à recevoir. L'impératif est un temps délicat à manier... et à conjuguer.
Deuxièmement si faire du zèle est simplement faire son boulot alors je pense que beaucoup de personnes font du zèle. Faire son boulot c'est aussi assurer lors d'un sucroit de travail ou d'un coup dur. Le zèle serait de vouloir en mettre plein la vue à mon boss. Si tu le connaissais, tu comprendrais qu'il est très loin de marcher dans ces combines !!!

Alors je continuerai à me "plaindre" de ma collègue qui ne reviendra sans doute pas en nous faisant mariner de semaine en semaine, d'un voleur qui retourne ma maison, de mon travail sur une broderie qui ne me satisfait pas, de notes noires et blanches qui ne s'accordent pas sous mes doigts au milieu d'autres billets plus anodins, fantaisistes, colorés et positifs. Si, si cela peut m'arriver de positiver !
Je resterai "intolérante" avec ce que je juge intolérable comme l'irrespect.

Ce coin de la toile est à moi et j'en profite...

29 mars 2010

La saga du printemps...

Je vous sais impatientes de connaître le nouvel épisode de "Ma collègue est malade !"

Petit coup de fil du lundi matin pour dire que l'arrêt maladie était prolongé de 15 jours ! Soit 8e et 9e semaine.

Alors qu'elle ne voulait pas me parler la standardiste a insisté pour me la passer.

J'ai pris des nouvelles puis lui ai demandé si elle attendait le petit frère ou la petite soeur de sa première, précisant que je savais qu'elle n'était pas obligée de le dire avant les 6 semaines légales précédant la date prévue d'accouchement mais qu'il fallait qu'elle comprenne que reporter de quinzaine en quinzaine et ce le lundi matin ne nous facilitait pas la tâche pour organiser le travail.
Elle a écouté en silence a rétorqué qu'elle avait toujours été correcte avec l'entreprise, qu'elle était prolongée de 15 jours et que l'on verrait dans 15 jours !" Tu m'as demandé de te prévenir alors je te préviens" (c'est le moins qu'elle puisse faire tout de même !).
Pas le moindre mot pour savoir si cela allait ou pas.

Elle n'a pas nié être enceinte.
Si elle ne l'est pas autant le dire ; j'ai encore l'espoir qu'elle n'est pas menteuse et qu'elle engage sa parole. Donc si elle préfère ne rien dire...
Si elle l'est et qu'elle attend le dernier moment pour le dire elle nous place volontairement dans une situation difficile.

Alors nous avons rappelé l'intérimaire qui est revenue en fin de matinée pour une quinzaine de jours.

Je me creuse le ciboulot pour savoir comment organiser le travail sans viser l'avenir mais en y pensant tout de même.
Reporter le poste d'une personne sur un service est envisageable si tout le monde y met du sien mais sur une seule personne doubler sa charge de travail cela pose un problèmeau long terme et 8 semaines c'est du long terme ! Pour le moment l'intérimaire ne me soulage que peu avec ses 6 jours de présence avec moi. Je me console en me disant que ce qui est fait n'est plus à faire même si pour cela il a fallu que j'y passe du temps au détriment de mon propre boulot. Cette semaine elle va prendre le standard 2 jours car la standardiste est en RTT. Cela aurait pu être pire et j'aurais pu être seule et assurer le standard en plus du reste !!!

Je sais que ma position sur le sujet choque mais, sans avoir la colère de mon boss à qui elle fait le coup deux fois de suite j'avoue que j'envisage très mal son retour... si retour il y a !

Karine, je ne suis pas encore absolue dans mes exigences car cela fait bien longtemps que nos dimanches sont en version pyjama avec les filles si nous n'avons pas à sortir ! Ouf je ne suis pas totalement perdue :-)

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